Black Hole [PV : Lucian]

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De nouveau, je venais de commettre un geste impardonnable. Bonne pour allez en enfer. J’en étais recouverte. Recouverte de ce liquide chaud et épais. Un liquide qui me gardait en vie. Ma camisole autrefois blanche ne l’était plus. Elle était à présent tâché de mes pêchées et mes shorts noires semblaient bourgogne à la lumière de la lune. Je tombai par terre, à genoux, tremblante et encore sous le choc. J’avais tué un homme. Encore. Il n’avait pourtant rien fait. Je l’avais tué sans raison valable. Il était peut-être un père de famille ou alors un meurtrier. J’avais peut-être rendu un service à la communauté moldu, ou alors je venais de détruire des vies.
À genoux dans la forêt, je tremblais encore. Mes mains étaient ensanglantées et brûlaient. Mais j’ignorais pourquoi. Je les regardais, dégoûtée qu’elles aient put commettre un tel crime. Je sentis de nouveau l’odeur de ce liquide. Si sucré. Je portai ma main droite à ma bouche puis léchai mes doigts soyeusement et doucement. Puis, je laissai mes dents pointus allez gratter presque amoureusement le dessous de mes longs ongles. Du sang y était logé.

J’étais comme en transe. J’étais obsédée par le sang. J’en voulais encore plus. Et tuer encore m’excitais. Planter mes crocs dans de la chaire chaude et sentir le sang couler sur les parois de ma gorge me fessais encore plus saliver. J’allais recommencer car j’allais manquer de volonté.

Mais ses yeux bruns vinrent m’envelopper et c’est là que j’éclatai en sanglot. J’avais honte. Je venais de rompre la promesse que j’avais faite à Nicolas. Je lui avais promis de ne plus tuer d’innocent. Mais ma nature animale avait gagné ma raison et j’avais tué l’homme étendu dans les rues de Little Whinging. C’était une banlieue tranquille et parfaitement normale, peuplée de Moldu. La seule personne à laquelle je tenais le plus venait d’être trahit par moi. Et j’étais persuadée que j’allais lui faire du mal.

Mon visage enfouie entre mes mains couvertes de sang, mes longs cheveux noirs aussi tâché de sang que ma camisole détacher dans mon dos, je sanglotais comme une veuve.

« J’ai tellement honte… »

Dis-je seule. Et je le pensais. Je le voyais, je voyais son visage découvrir ce que j’avais fait et je le voyais pourtant me pardonner. Mais pourquoi n’était-il pas insensible? Pourquoi ne m’engueulait-il pas de cette vision absurde que j’avais?

Pourquoi étais-je un monstre?

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L'odeur du sang. On avait tué dans les environ, et je savais très bien qui avait commis cet acte qui était presque un art. Ma fille, Ashley. J'avais réussit à la localiser, et je comptais bien la faire revenir dans mon clan de nouveau, par tout les moyens qui existaient.

Je l'avais traqué jusqu'ici, petite banlieu tranquille infestée de moldus, et l'avait regardé tué cet homme. J'étais fier de ma fille, de savoir que ses instincts animaux continuaient de la guider, jusqu'à ce que je l'entende sanglotter et montrer sa honte au grand jour. Là, elle me déçu au plus haut point. Je lui avait fait le plus beau cadeau que je possédais: la vie animale, la liberté en quelques sortes, et elle en avait honte? Je devais la ramener sur le droit chemin, celui de la vie sauvage.

À pas de loup, je m'approchais d'elle. J'espérais ne pas l'effrayer avec mon apparence on-ne-peut-plus négligée: Mes longs cheveux sales et en bataille était lâchement retenu par une ficelle de cuir en une queue de cheval négligée, ma barbe maculée de sang séché, mes vêtements sales et troués ainsi que les épaisses cernes d'un violet soutenu qui s'incrustaient sous mes paupières me donnaient un air menaçant, effrayant même. La noirceur de la nuit ne devait pas aidé non plus à me faire paraître innocent.

Timide et mal à l'aise après toutes ces années ou je n'avais plus été considérée comme son père, j'enlaça maladroitement ses épaules tandis qu'elle était encore secouée de sanglot. Je gardais une certaine distance, de peur qu'elle ne me rejette, puis caressa ses cheveux et embrassa le dessus de sa tête avec réticense. Je n'avais jamais montré d'affection à mes enfants, afin de les rendre fort, mais si c'était ce qu'il fallait pour que ma fille, la chair de ma chair, décide de revenir, je démontrerais autant d'amour que je le pourrais. Après quelques secondes, je vint lui faire face et la prit par les épaules, dégageant son visage des quelques mèches qui avait collés à son front. L'ombre d'un sourire étira mes lèvres tant sa beauté me rappellait celle de sa mère. Ses yeux gris me rapellait ceux de ma propre mère, dont je n'avais hériter que son forme de loup, et je me rendis également compte que ma fille était devenue une adulte. Ce n'était plus la fillette qu'elle était lorsqu'elle nous avait quitté. Je m'étonnais presque de ne pas la retrouver malade et chétive, et me questionnait sur le comment elle avait aussi bien vécu. Aucune cicatrice ne marquait son corps de déesse et elle avait l'air un million de fois plus propre que je ne l'étais. Une famille avait sûrement du la receuillir, et avec de la chance, ses instincts la pousserais à les quitter facilement.

- Ashley, ma belle Ashley... Comme tu as grandis... mentionnais-je de ma voix grave teintée de fiertée envers ma fille.

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Jamais je ne l'avais entendu m'approcher. Mais je sentis clairement ses bars m'entourer et je pleurai de plus belle. La chaleur de ces bras me rappelais bien des souvenirs et ils n'étaient pas tous bons. Sa main dans mes cheveux aussi clair qu'un champ de blé me réconforta partiellement. Je ne voyais pas son visage puisqu'il était dans mon dos. J'étais à genoux et il me leva sans difficulté. Il m'embrassa ensuite le dessus de ma tête. Mais je ne sentis aucune chaleur dans ce baiser. Mes larmes cèssèrent subitements. Je me rendais compte que la personen derrière moi n'était peut-être pas un ami. Ce pouvait bien être n'importe qui. Et ainsi courtement vêtu, je craignais le pire. Il me contourna pour me faire face. Cette homme là N'était pas qu'un souvenir. Ces longs cheveux brun et ses yeux cernés m'étaient familier. Son apparence était celle de mon père Lucian. Et cet homme était mon père.
Il déposa ses mains sur mes épaules et je regarai ses mains sans broncher. Si je l'aurai vue plusieurs années auparavant, un tel geste m'aurai poussé à l'attaquer. Mais je m'étais curieusement ennuyée de mon père. Mes yeux encore humides le regardèrent dans ces yeux et je dû camouffler un sourire. Je ne voulais pas lui témoigner aucun amour ni aucune joie de el voir bien que c'en était le contraire.

Il me regardait avec fierté et je levai la tête pour monter mon estime de moi. Il m'avait surprit en plein instant de faiblesse. Il allait l'utiliser contre moi. Mom père n'était pas aussi doux que ça en générale. Et je me savais très bine qu'il ne s'était pas ennuyer de moi tant que ça.

« Ashley, ma belle Ashley... Comme tu as grandis... »

Je le regardai. Mon père n'utilisait même pas cet adjectif pour aprler de ma mère, alors pourquoi parler de moi ainsi? Quelque chose se préparait dans sa tête. Et c'est là que je pris conscience que l'homme devant moi était la cause de mon malheur. C'est lui qui m'avait mordu. C'est à cause de lui si j'avais du sang sur ma camisole, si le corps d'un innoncent gisait sur la route plus loin. À cause de lui si je m'étais sauvée. À cause de lui si ma mère était malheureuse.

Je m'éloignai, l'obligeant à relâcher mes épaules. Je croisai mes bras sous ma poitrine et le toisa furieusement. Je n'allais pas expriméer la même joie que lros de retrouvaille avec ma mère et William.
Son apparence me provait que sa vie de vaganbond et d'animal n'avait pas changé. Ses habitudes non plus. Mais qu'est-ce qui le poussait à s'éloigner de sa meute? Dans mes souvenirs, il y avait toujours eu un autre loup avec lui...

« Papa »

Dis-je simplement. Face à cet homme, j'ignorais comment je devais réagir. L'attaquer? Le repouser? Lui sauter dans les bras? Ou alors lui demander des explications?

« Qu'est-ce que tu veux ? »

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« Qu'est-ce que tu veux ? »

Mon visage se durçit de savoir que ma fille se sentait ainsi mal à l'aise en ma présence, tout comme moi. Mais c'était elle qui était partie, elle n'aurais pas du se sentir de la sorte. Moi si en revanche. C'était de ma faute, à cause de ems agissements que je l'avais pousser à se sauver. Je m'installais è genoux, face à elle, tandis qu'elle se dégageait de mon emprise. J'en fut légèrement vexé, mais ne le démontra pas. Après tout, j'étais ici pour lui parler d'un possible retour avec moi et ma meute.

- Je ne veux rien Ashley, sauf te parler... Un père n'a-t-il pas le droit de s'inquièter pour sa fille adorée? Je désires simplement savoir comment tu vis.... Moi et le reste de la meute auriont une offre à te proposer, ou plutôt une demande à formuler: Accepterais-tu de revenir dans la meute? Je sais que tu as quitté la meute il a fort longtemps pour des raisons qui te sont personnelles, et je ne te demanderais pas de m'expliquer. Nous croyons que tu serais fortement utile dans notre meute et, vois-tu, ta mère me harcèle jour et nuit pour que je te retrouve. Tu luis manque beaucoup tu sais, elle désire te revoir..... dis-je d'un ton attendrissant.

C'était presque comme si je la suppliait, mais c'était peut-être mieux ainsi. Je ne désirais pas simplement qu'elle revienne, je devais la faire revenir. Sonia ne m'en avait pas parler de vive-voix, mais je savais que c'était ce qu'elle me suppliait de faire à chaque fois que ses yeux tristes croisaient les miens. J'avais déjà asser ruiné sa vie, il fallait que je me ratrappe. Même si je faisais énormément d'erreurs avec elle, je me devais de ne pas commetre celle-ci: ne pas ramener ma fille au bercail.
Hg: dsl si c'est court, jme ratrappe au prochain :)

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« Je ne veux rien Ashley, sauf te parler... Un père n'a-t-il pas le droit de s'inquièter pour sa fille adorée ? Je désires simplement savoir comment tu vis... Moi et le reste de la meute auriont une offre à te proposer, ou plutôt une demande à formuler : Accepterais-tu de revenir dans la meute ? Je sais que tu as quitté la meute il a fort longtemps pour des raisons qui te sont personnelles, et je ne te demanderais pas de m'expliquer. Nous croyons que tu serais fortement utile dans notre meute et, vois-tu, ta mère me harcèle jour et nuit pour que je te retrouve. Tu luis manque beaucoup tu sais, elle désire te revoir.... »

LÀ était l'arnaque. J'aurais dû m'en douter. Mais après tout, rejoindre une meute d'une telle envergure ne pourrais que m'aventager si Jake et Sacha m'attaquaient ou me menaçaient. Mais je fesais déjà partie d'une autre meute à présent. J'avais quitter celle de Jake pour celle de William. En femelle indésise que j'étais, je m'étais rangée du côté de mon frère. Je ne quitterais pas sa meute tant qu'il ne m'aurait pas mit dehors lui même. La cicatrice dans ma nuque, camoufflée par mes longs cheveux de blés était la preuve que toute séparation était douloureuse.

Je regardai mon père à genoux face à moi qui s'était aussi remise à genoux à cause de la douleur du meurtre que je venais de commettre causait en moi. J'allais répondre à mon père, mais j'allais d'abbord lui raconter ce qui m'étais arrivée et comment je vivais à présent :

« Je vis très bien papa. J'ai un amoureux qui prend soin de moi et je vis avec lui. J'avais une famille pour prendre soin de moi. J'avais une meute aussi. Celle de Jake Maé. Je l'ai quitté récement. Et depuis je n'ai plus aucun lien avec la famille Maé mise à part ma petite soeur Kate Maé. »

Je le regardai ensuite en fronçant mes sourcils aussi pâle que mes cheveux. J'avais la sensation de resembler à maman devant lui. Et ça me fessai un drôle d'effet de le voir me "supplier" de revenir dans sa meute. Je l'aurai fait pour maman. Mais j'avais fait une promesse à William et j'allais la tenir. Je secouai la tête de gauche à droite et lui répondis:

« Quand on quitte une meute, papa, c'est parce qu'on a pas l'intention de la réintégrer plutard. J'ai déjà une autre meute papa. Et je resterai fidèle à mon chef et à son autre membre. C'est une petite meute et je suis la seule fille. Mais je suis bien dans cette meute et je ne compte pas leur faire faut-bon. Désolée, mais toi et les tiens devraient plutôt miser sur des loups libres et sans meute. »

Je ne cherchais pas à être froide avec lui, mais très claire. Il ne m'aurait plus dans sa meute. Ces erreurs passés ne pourraient pas être réparées comme ça, après plus de dix ans d'absence. J'avais vingt et un ans depuis moins d'un moins. J,étais une jeune adulte et en droit de faire mes propres choix. Et la meute de mon père ne m'intéressait pas.

Invité

La réponse de ma fille me déconcerta, et je scouait la tête, incrédule. Je voyais déjà la visage remplis de douleur et de tristesse de Sonia lorsque je lui annonçerais que sa fille ne reviendrais jamais. J'empoignais Ashley par les épaules et la secouait, le regard remplis de panique, après tout, toute la meute voulait que je la ramène: Ma vie et mon poste de chef était en danger.

- Tu DOIS revenir Ashley, ma chérie. Je ferais ce que tu voudras, je te donnerais ce que tu voudras, je détruirais ceux que tu voudras voir mort, je protègerais ceux qui te sont chers, j'allierais ma meute avec la tienne, quitte à partager le pouvoir avec le chef de ta propre meute, mais je t'en prit, je t'en supplie, revient-moi! Ta mère ne survivrait pas au fait que tu ne reviendrais pas, elle m'en voudrais totue sa vie, les auters membres de la meute aussi. Je t'en pris, Ashley Foster, tu te dois de revenir. Accorde cette chance à un vieil homme qui se meurt de revoir sa fille et de revoir sa femme heureuse. Reviens, s'il te plaît.... annonçais-je, d'un ton suppliant.

Je la suppliait du regard et m'était agenouillée, avant délaissé ses épaules pour emprisonnée ses deux mains ensanglantée dans les miennes, couverte de boue. Je poussais un long soupir puis reprit, ma voix n'étant plus qu'un souffle:

- Penses à ta mère Ashley... Je ferrais ce que tu voudras, je te le promet, mais reviens avec nous....

Invité

Le comportement de mon père était absurde. Il s'était approché et me secouait par les épaules. Sauf que, intimidée par son status de mâle alpha et celui de mon père, je ne me défendis pas. Je fronçai mes sourcils et plongea mes yeux bleu-gris dans els sien, laissant la haine de mes yeus parler à ma place. Je ne l'écoutais qu'à moitier. J'avais toujorus su me défendre très bien sans lui. Ces promesses ne m'étaient donc pas intéressante. Il lâcha mes mains et s'agenouilla devant moi, emprissonant mes mains dans les siennes. Il me supplait du regard et je ne fus pas capable de conserver mon regard de feu devant le sien, qui fessait si pitié. Je tournai même la tête, regardant ailleurs.

« Papa, arrête s'il-te-plaît. »

Dis-je en tremblant. Je ne voulais pas craquer face à lui et je ne voulais pas non plus paraître insesible. C'était mon père, ma famille qui me supplait de revenir. Mais ce qu'ils m'avaient fait subir méritait tout simplement mon abandond.

« Penses à ta mère Ashley... Je ferrais ce que tu voudras, je te le promet, mais reviens avec nous.... »

« Papa... je t'en supplie... arrête d'utilisé maman comme ça... »

Je le regardai, mes yeux aussi humides que lorsqu'il m'avait trouvé. Mes longs cheveux bruns couvrait à présent mes épaules nues. Je brûlais, ma peau icendiait presque mes vêtements. La présense de mon père m'énervais, me rendais nerveuse, j'avais tant d'émossions ressentit à la fois que j'en avais peur... :

« Je ne peux pas revenir Papa je suis dans une autre meute qui nous protèges bien »

Nous ? Oui moi et Nicolas... William et Caleb se montrait suffisant pour protéger mon amoureux et me protéger même si j'étais capable de défendre parfaitement...

Invité

Je fronçais les sourcils et poussa un long soupir. La partie n'était pas terminée, pas avec moi en tout cas. Je me relevais lentement, secouait la terre qui collait à mes genoux puis me râcla la gorge, désireux de proposer cette dernière offre:

- Ashley.... Accepterais-tu de me présenter le chef de ta meute, ou du moins me donner son nom? J'aurais une offre à lui proposer, mais pour cela, il me faut, bien sûr, lui parler de vive voix, entre chef Alpha... J'aurais aimer lui demander si nos meute pourrait fusionner, dans le but dans former une plus grosse et plus puissante. Ce serait simplement une question de protection et ainsi, nous courrions moins de risque chacun de notre côté. annonçais-je d'un ton que je voulais proffesionnel.

Sur ce, je repoussais mes cheveux sale derrière mon épaule et fixait intensément le regard de ma fille, puis ajoutais-je:

- Tu me déçois Ashley... Laisser ainsi ta pauvre mère....

Elle m'avait demander de cesser de l'utiliser, mais c'est ce que j,allais faire. tant pis si c'était douloureux pour elle, je devais la ramener.

- Ne te rappelles-tu pas le sang qui coulait de sa jolie bouche? Sa lèvre enflée à cause des coups que je lui infligeais? Tu ne voudrais pas que ça recommence, non? Et bien je crois que c'est ce qui va arriver, maintenant que ni toi ni ton frère n,êtes là pour la protéger.... dis-je d'un ton menaçant, mes crocs se découvrant peu à peu et mes yeux prenant leur teintes animales.

Invité

Il s'était relevé, retrouvant sa stature impossante de mes souvenirs. J'avais devant moi le plus grand chef de meute que je connaissais à ce jour. Je ne pus que baisser les yeux lorsqu'il me regarda de haut. Il soupirait, je savais alors que je l'avais déçu, de nouveau. Je restai toutefois soumise devant lui, mais je levai les yeux afin de lre regarder lorsqu'il m'adressait la parole. Ce que j'entendis me donna des frissons dans le dos. William m'avait avoué depuis peu qu'il avait été cahssé hors de la meute. Et que Papa l'avait attaqué sauvagement. Je ne pouvais pas reveler son nom. Ce serait l'envoiyer à la mort. Je savais que mon père serait prêt à tout pour me revoir et tuer mon chef de meute, malgré son status de fils, n'allait pas le gêner.
Ce fut à moi de me lever et de fronçai les sourcils en lui répondant calmement :

« Mon chef de meute est très jeune et je ne crois pas qu'il soit encore prêt pour affronter des rivaux tel que toi. Tu devras malheureusement faire sans. »

Il repoussa ses longs cheveux derrière son dos et me fixait intenssément. Tant que s'en n'en fut gênant. Je rougis, mais j'étais plutôt agassée que gênée. Puis mon père m'avoua que je le décevais. Je soupirai et marmonna entre mes dents :

« Désolée de en aps être parfaite. »

« Ne te rappelles-tu pas le sang qui coulait de sa jolie bouche? Sa lèvre enflée à cause des coups que je lui infligeais? Tu ne voudrais pas que ça recommence, non? Et bien je crois que c'est ce qui va arriver, maintenant que ni toi ni ton frère n'êtes là pour la protéger.... »

Je grognai. Ça me mettais hors de moi ce qu'il disait. Bien sur que je me rappelais de ça! C'était la première raison de mon départ! Sa cruauté envers maman. Ça me choqua lorsqu'il me revela qu'il pourrait reccommencer ces maltraitements envers maman. Je trembalis et la haine guida de nouveau mes gestes. J'attrapai mon père par le collet et le plaquai contre un tronc d'arbre. Je plongeai mes yeux bleus-gris furieux dans les siens, surprit par ce geste et approcher mon visage du sien, et à quelque centimètre, mes dents serrées, de lui dis :

« Te sens tu comme un homme ? Tu te crois puissant lorsque tu la frappe ? Je peux te jureur, papa, qu'un jour elle s'en ira. »

Je sentis qu'il tentait de se défaire de mon emprise. J'appuyai mes mains conte son cou, l'enfonçant légrement dans le tronc d'arbre massif et ajoutai toujours aussi furieuse :

« Ne t'avise même plus de la toucher. Ou je n'aurai d'autres choix que de te tuer. »

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Lorsque ma fille me plaqua sur le tronc d'arbre, je ne put m'empêcher de penser qu'elle me ressemblait, côté caractère. Je me laissa faire, gardant un sourire moqueur à mes lèvres, et répliqua:

- Ta mère ets trop faible pour partir. Elle ne survivra pas une seule seconde seule. Elle est incapable de chasser seule, si ce n'était pas de la vie en meute, elle serait morte depuis longtemps! Elle ne partira donc jamais.

Puis elle déclara que si je touchais de nouveau à sa mère, elle me tuerais. Je rit un bon coup avant de lui répondre, d'un ton remplis de venin:

- Toi, me tuer? Avec quelle armée? Ton petit chef de meute? Je vous attendrais, moi et mes loups expérimentés. Je m'occupperais de ta mère comme je le voudrais, et tant que tu ne reviendras pas dans la meute, je te jures qu'elle passeras un sale quart d'heure. Après tout, c'ets de sa faute si sa fille n'est pas aussi gentille et douce que sa mère, qui elle, n,aurais pas hésiter à revenir...

Je la déjouais et empoigna sa gorge, me dégageant de son étreinte et la plaqua sur le tronc d'arbre ou j'étais moi-même installé quelques secondes auparavant. Puis, je poursuivis:

- Par contre, je te promet que si tu reviens, avec toute ta meute, je ne la toucherais plus jamais, ni ne toucherais à personne que tu aimes... Imagines: Tu n'es peut-être pas la chef, mais tu décides qui ont extermines ou non......

Je haussais un sourcils et attendit sa réaction, relâchant la pression sur la gorge, mais la maintenant plaquer contre l'arbre.

Invité

Mon père m'avais déjoué. C'est moi qui fus plaquer contre l'arbre. Il tenais ma gorge et mes mains s'aggripaient, plantant mes oncles dans sa peau. Mais il ne sentait probablement rien, la haine l'avait rendu insseible (Ahem u_u). Ce qu'il dit sur ma mère m'écoeura. Comment pouvait-il parler d'elle ainsi et la menacer. Je plongeai mon regard dans le sien et grognai contre lui. Je n'allais pas me soumettre à lui comme ma mère. Il allait voir que la sauvagerie fessait partie de moi et que je n'étais pas aussi douce que ma mère même si je lui ressemblais.

« Par contre, je te promet que si tu reviens, avec toute ta meute, je ne la toucherais plus jamais, ni ne toucherais à personne que tu aimes... Imagines: Tu n'es peut-être pas la chef, mais tu décides qui ont extermines ou non... »

« Tu rigoles ? Et m'enlever le plaisir de te voir vert de rage lorsque maman aura rejoint notre meute ? Jamais. »

Je le frappai alors violent entre les jambes. Il me relâcha aussitôt et je lui donnai un violent coup de coude dans le dos. Il tomba à plat sur le ventre et lui crachai dessus. Je lui manquais tant de respect que jamais il ne voudrait me pardonner ça. Je em fichais bine de ce qu'il m'offrait, je pouvais faire sans.

Je savais qu'il allait me rendre l'appareil. Alors je courrais le plus vite possible. J'allais aller chercher maman rapidement. Laissant mes sens me guider sur ce coup là.

Invité

Je laissais ma fille faire. je l'avais bien chercher. Tandis que j'était recrovillé par terre, je la regardais fuir, me promettant de la ratrapper. Dès que la douleur fut partie, je m'élançais à sa poursuite. La pleine lune, que les nuages avait caché durant notre entretient, s'était finalement dévoilée, et prendre ma forme de loup était considérablement plus facile. En fait c'était forcée.

Je suivit donc sa piste, que ma tête de linotte de fille n'avait pas prit la peine d'effacer, et la ratrappais après de longues minutes, peut-être même heures. Lorsque je la trouvais enfin, les nuages avait de nouveau voilée la lune et je me retrouvais en humain, derrière elle. Je lui sautais dessus, la faisant tomber à plat ventrel, puis la retourna de force avant de m'élancer, furieux:

- Tu reviens dans la meute ou c'est ta mère que j'extermine, petite idiote!

Sur ce, je la glifflais et attendit qu'elle me réponde, la main levée, prête à la giffler une seconde fois.

Invité

La lune pleine m'avait permit de courir plus vite. Et j'avais cru lui échapper. Je filais comme une éclair entre les arbres et approchait de ce que je croyais être la cachette de ma mère. Je n'avais pas remaqruer que j'étais de nouveau humain et presque nu. Mon soutif avait tenu le coup ainsi que mes shorts, mais adieu la camisole tâchée de sang. Je n'avais pas froid malgré le vent frai qui fouettait ma peau bazané. J'étais déterminée à retrouver ma mère et l'oubliger à me suivre. Et ce malgré toute les embuches que j'allais recontrer.
Sauf que j'entendis trop tard le grognement de mon père qui m'avait suivit. Je me retrouver sur le sol, à plat ventre et il me tourna de force en me gifflant violement. Je ne pleurais pas encore mais lorsqu'il me réella son plat se fut plus fort que moi. Les alrmes montèrent. Je ne pouvais pas croire qu'il était si cruel. Qu'il menaçait ainsi maman. Je secouai la tête, mes cheveux noirs en éventails autour de ma tête, je le regardai et le suppliai:

« Non je t'en prie. Ne lui fais pas de mal ! Je viendrai dans la meute ! »

Il m'avait eu. C'en était finis pour moi. Il allait la tuer si je n'acceptais pas. Alors autant accepter. Mon père melaissa enfin bouger et je me levai. Gêner d'être dans une telle position. J'étais sale, presque nue et j'avais devant moi mon chef à présent. Je possai mes mains sur mes bras, cherchant à me cacher un peu et regardai mon père furieuse. Mais je n'osais plus l'harceler ou répliquer. Je baissai les yeux et puis, dis :

« Tu as peut-être retrouvé ma présence dans ta meute, mais ne compte pas sur moi pour t'aimer. »

Je commençai à marcher mais j'ignorais où allez. Je ne pouvais pas allez chez Nicolas ainsi, et encore moins retourner voir William. J'allais devoir me trouver une place ou dormir, où les yeux indiscrets des pervers ne me trouverais pas.

Invité

Voyant que ma fille avait accepté, j'étais bien heureux. Évidement, je n'avais jamais eu l'intention de tuer Sonia, mais si c'était les paroles qu'il avait fallut prononcer pour récupérer ma fille, j'étais fier de l'avoir dit.

Voyant qu'elle était à moitiée nue, je détournais le regard, lui laissant tout de même le peu de pudeur qu'il se devait, puis tendit le bras vers l'Ouest.

- La meute se trouve par là, suis-moi, je t'y guiderais. Tu y trouvera refuge, et de nouveaux vêtements, évidement. Ta mère t'attend avec impatience, tu sais? décretais-je rapidement, mal à l'aise.

Sur ce, j'attendis que la lune soit de nouveau dévoilée puis prit ma forme de grand loup noir et m'enlança en direction de mon campement., espérant être suivit de ma fille. Lorsque j'arrivais là-bas, deux femmes de ma meute virent me porter une petite robe blanche, un peu comme celle que Sonia portait souvent avant le départ d'Ashley. J'allias l'offrir à ma fille avant de lui dire:

-Bienvenue dans ton nouveau chez-toi.

Puis je disparut en direction la forêt, désireux de chasser une dernière fois avant la fin de la pleine lune.

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