Mes paupières s'ouvraient lentement. Je prenais tranquillement conscience d'où j'étais. Allongée dans un grand lit aux draps de satin blanc, j'étais blotis contre le corps chaud et musclé d'un homme. Mais cet homme n'était pas n'importe qui. Il me serrait contre lui et mon corps plus puissant qu'un humain normalement était complètement sans défense à côté de celui là. Il appartenait à Nicolas Dolcadis. Celui que mon coeur avait choisit depuis plusieurs mois. Nos corps étaient rapprochés, nos jambes entremêlés et ma main sur son torse nu le caressai doucement en un mouvement de va et vient. Quant à lui, il caressait mes côtes nues aussi. Doucement et amoureusement. Ses yeux étaient ouverts et il me regardait en souriant. Depuis combien de temps me regardait-il ainsi? À dormir et à rêver. Dieu seul le sais. Alors tendrement, je souriai aussi, contente de le revoir, une fois de plus, à côté de moi. Je posai ensuite ma tête sur son torse et puis fermai de nouveau les yeux. Sa main cessa les caresses et remonta jusqu'à mes cheveux aussi noirs que de l'encre. Un sourire essiner sur mes lèvres, j'aimais sentir sa main dans mes cheveux. J'aimais sentir son corps contre le mien. J'aimais sentir ses caresses sur mon corps. J'aimais le savoir prêt de moi. Contrairement à ce que tous pouvait penser, nous n'étions pas mariés. Ni fiancés. Je n'en avait pas besoin. Je lui avait fait savoir que même sans anneau au doigt, je lui appartiendrais pour toujours.
Nous avions eu une nuit mouvenmentée et il était déjà onze heure. Je ne prenais toutefois pas conscience de l'heure qu'il était, c'était plutôt Nicolas qui la regardait calmement. Nous nous reposions calmement lorsque je l'entendis racler sa gorge. Je levai alors la tête calement pour le regarder. Son visage était tourné vers la grande porte de sa chambre et ses yeux descendu vers un petit elf de maison, qui paraissait timide et mal à l'aise de nous déranger. Du bout de son doight crochu, il tapota son poignet comme s,il pressait son maître. Nicolas hocha la tête puis l'elf quitta la pièce à petit pas que j'entendais très bien mais que Nicolas ne devait pas entendre avec son ouie humaine. Il resta un instant à egarder l'endroit où l'elf se tenait avant de tourner calment sa tête evrs moi, un léger sourire modelant ses lèvres. Pour ma part, je ne comprenais pas, mais il semblait comprendre ce qui se passait et être en parfais contrôle de sa personne, comem toujours.
Encore en cours.