Est-ce le destin qui m'a mis sur ton chemin ou le hasard ?( Ashley)

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Toute la nuit j'étais resté éveillé. Je ne pouvais pas dormir, car elle m'en empêchait. Sa beauté surplombant mes rêves. Je rêvais oui je dois l'avouer, mais je rêvais réveillé. J'étais allongé sur mon lit, les bras croisés derrière ma tête et mes jambes croisés. J'avais un sourire sur mes lèvres. Je me souvenais de ses lèvres rosés, mes mains entre les siennes, elle sentait bonne, disons les roses d'été. Elle s'approchait de moi sans gêner, caressait ma joue et approcha ses lèvres aux miennes. Entrouvertent, nous pouvions sentir notre respiration s'accomplir. Je fermais mes paupières, elle fermait les siennes et nos lèvres s'approchèrent de plus en plus jusqu'a s'effleurer quand tout a coup, mon réveil sonna a grand coup. Je me réveilla en sursaut. Je m'étais endormis!
Une longue journée allait se produire sans que je ne puisse voir cette beauté des îles, cette femme qui avait conquérit mon coeur. Étais-ce cela l'amour? Ou étais-ce la passion? Je ne voyais pas ce que cela pouvait être si non. Je l'aimais... Et sans doute que si elle m'aurait pas dit ou il pourrait la revoir cela aurait voulu dire qu'elle ne l'aimait pas. Alors elle m'aimait aussi. Ohh quel bonheur peut-on avoir lorsqu'on est amoureux et que tout est nouveau.

***

Le soir venait de montrer ses étoiles. Je marchais sur Pré-au-Lard a la recherche des Trois-Balais. J'étais si stresser, si inquiet. M'avait-elle mentie? Voulait-elle me tendre un piège? Non... Même si sa aurait été comme cela, je ne l'aurais pas cru. Je m'étais habillé proprement tout spécialement pour elle, une belle chemise bleu avec une cravate et un pantalon noir. Des souliers propres de cuir et tout le tralala. Pour ma part, même salie par la terre je l'aurais trouver belle cette louve.
Ashley....
Voila! Mon coeur battait a tout rompre, j'avais l'impression qui allait sortir de ma cage thoracique.. Je panique! Que vais-je faire? Oh non... Je me dégonfle, je la vois la, assit sur une table, seule. Elle est si belle et moi si....différent. Comment me trouvera-t-elle? Mon premier rencart! Oh mon dieu, je vais mourir. Je suais, je respirais fort et d'un courage exeptionnel j'ouvris la porte. J'allais fondre, j'allais m'éffondrer devant elle. Depuis quand je perdais mon sang-froid aussi facilement, c'était comme-ci elle allait me manger.
Nos regards se croisa et mon coeur hurlait pour avoir de l'oxygène, je devint très nerveux et j'alla près d'elle. Je sentais en elle une profonde gêne, une peur. C'était comme-ci nous avions les même sentiments! On n'osait même pas croiser nos regards de nouveau. Roo je voulais mourir...
Quand alors je décida de ciller des yeux et de millimêtre en millimêtre tourna mes yeux rouges vers elle. Ashley ne me regardait pas et je décidais enfin de porter l'attention.

-Euhh Bonjour...EUH!! B...B...Bonsoir....Espèce d'idiot!

D'un geste machinale je lui pris la main qui me fit trembler de plus belle et posa mes lèvres sur ces mains de porcelaine. Cela ne prit qu'un millième de seconde que je la relâcha. Nos yeux se croisèrent enfin. Je me sentis mou, aussi mou que le chocolat, aussi faible que cette nuit ou j'ai toucher sa main. Je rougis ou plutôt on rougissait. Que m'arrivait-il...
Sans même trop quoi dire....Je bégueya et lui dit:

-Tu....Tu...Tu es très belle!

Un sourire plein de dent s'imprima sur mes lèvres, mais fut mouiller bien vite, car je me sentais bien stupide. Mon coeur devenait chaud a chaque fois qu'elle me regardait de ce doux sourire. Ouff...Il fallait que je m'assisse, j'allais tomber sur le sol.

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L 'excuse la plus pitoyable que j'aurai put lui donner. J'avais posé un lapin à Jake un soir de chasse pour allez rendre visite à nos parents. Que c'était médiocre. Je n'avais pas voulu qu'il m'accompagne, bien évidement, car il se serait rendu compte que mère avait changer de sexe et d'apparence... Pendant que je me rendais en ville durant la journée, je me trouvais riddicule. J'étais pieds nus, couverte de terre, horrible à regarder. Un sentiment de chaleur m'accompgnait sans me lâché et je trouvais ça agréable, mais agançant à la fois. Je savais que s'était lui qui me fesait sentir ainsi. Passant devant les vitrines d'un magasin de vêtement, j'entrai et en sortie rapidement, suivit d'un cri. J'avais dû user de... persuation pour emprunter un petit gilet rouge vif qui m'arrivait à la mit cuisse. Mes cheveux étaient sals, mon corps aussi. Je soupirai et, en sautant à une fenêtre d'un appartement vide pour le moment, j'y pris une douche et empruntai le maquillage de la femme y résidant. Je lui emprunta, aussi, un sac à main noir et des souliers chics avant de m'en allez, sans vue ni connue, par la porte d'en avant.

***

C'était bientôt l'heure, toute agitée et nerveuse, je me rendis aux trois-balais trois heures en avance! J'avais très hâte de le revoir. De lui parler encore, ou plutôt, de lui parler réellement. Il connaissait mon prénom à présent, je connaissais le sien aussi. Était-ce bon pour moi? Avais-je le droit de me lier à quelqu'un? Avais-je le droit de ressentir ce que je ressentais pour lui? J'étais confronter à deux mondes. Celui que j'avais toujours connu et celui que je désirais connaître avec Nicolas.
Les heures passèrent comme des secondes pendant que je pensais à tout ça. Et, j'entendis la porte ouvrir. Je ne levai pas la tête, mais je sentis son odeur. De terre mouillé, il sentait l'automne. J'étais, à présent, intimmidée par lui. Gênée, nerveuse, mon coeur battait si vite, et je le regardais même pas! Je n'osais pas imiginer ce que se serait si je le regardais dans ses magnifiques et réconfortants yeux rouges.

Je ne le regardais toujours pas et ce fut lui qui débuta la conversation en me saluant. Je souriai en entendant ses paroles maladroites. Il n'avait pourtant pas à être gênée, je n'aurai pas fais mieux... Il me prit la main. Et comme hier soir, mon ventre se noua et je me sentais fondre, trembler. Il l'embrassa ensuite, chose que personne n'avais jamais faite. Et si ce n'aurai pas été lui, je crois que j'aurai bondit sur la personne impliquée. Mais, lui, c'était magique, plaisant, chaud, agréable à sentir. Ses lèvres sur ma peau me firent frissonner de plaisir et je me raidis légèrement. Mais ce n'était pas un refus, j'en voulais encore plein d'autres comme ça.
J'étais probablement rouge comme une tomate, j'avais honte de moi. Il était si bien habillé, il n'avais surement pas voler ses habits. Moi, si. Je n'étais qu'une voleuse même si lui, m'avais déjà voler quelque chose...

- Tu....Tu...Tu es très belle!

Je le regardai soutenant son regard en flamme et lui souria de nouveau et sincérement. Il avait relâcher ma main, mais ce fut moi qui la repris, comme par impultion, comme si on m'y avait obligé. Sauf que je ne la relâchai pas, je la serra même! Comme s'il allait partir, comme si je risquais de le perdre:

- Merci. Tu es très éléguant, très charmant.

Je le pensais vraiment. Mes joues étaient en flamme, mon coeur allait exploser, ma tête tournait et je ... je souriais! Par plaisir et non pas malice comme j'avais coutume de faire. Sauf que pour moi, s'était plus dûre m'exprimmer. Je ne savais pas quoi lui dire, car pour moi, ce n'étais qu'un rêve. Un ange qui venait éclairer passablement ma vie lugubre et dangereuse.

- ....

Je n'y arrivais pas. Ça ne voulais pas sortir. Ou je ne le voulais pas? Peut-être un peu des deux, car j'étais attachée à mon autre monde et j'avais l'impression de trahir les miens.

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J'étais assit la devant elle. Je ne l'aurais jamais crue. Comment cela pouvait-il arriver a deux personnes aussi différents les uns des autres, une louve et un monstre? Je ne l'avais vue qu'une fois et cette seule fois avait suffit pour que je tombe en amour. Comment cela se pouvait-il? Elle essayait d'éviter mon regard, mais je lui lançait une corde au coup pour qu'elle ne me fuit pas du regard. Elle était si belle, si belle sous ses éclairages satinés. Je l'a voulais. Pour une fois dans ma vie, je me sentais réellement en amour. C'est alors qu'une très vieille dames vint a notre table en disant

" Vous voulez commendez?"

Cette serveuse me souriait d'un air coquet. Elle me faisait un peu peur, ridée, cheveux blanc. Elle était très vieille et surement qu'elle travaille ici au trois-balais depuis longtemps. Je me posais des questions sur son agissement. Enfin, je me réveilla et lui dit:

-Pour moi une bierreaubeurre et le plat numéro 3. Et vous?

Elle me répondit qu'elle voulait un steak bien saignant. Cela ne m'étonnait pas, mais bon...Chacun ses gouts!
Je l'observais pendant un moment et les plats étaient déja arriver. Je décortiquais ma brochette et dit nerveusement:

- J'espère que tu n'as pas eut trop de problème hier concernant tout sa...

En même temps que je lui adressa la parole, un regard me pesait affreusement sur moi. Cette vieille serveuse me regardait sans cesse. La seule chose que je ne savais pas c'était : Que cette serveuse était et avait toujours été la complice du premier rendez-vous de mes parents et que sans elle, mon père et ma mère nous aurait eut cette nuit la...

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J'évitais son regard, c'était plus fort que moi. Car lorsque je plongeais mes yeux dans les siens, je me voyais autrement de ce que j'étais réellement. Je me voyais belle, rayonnante. Mais ce n'était pas moi. J'étais cruelle, vilaine, méchante, mangemort, je n'étais pas faite pour connaître et ressentir ce que je ressantais. Allais-je savoir finalement ce qu'était ce sentiment là?

" Vous voulez commendez? "

Je la regardai et manqua de rire. Elle n'était pas jolie à regarder et ses cheveux gris et frissotés me rappelais un peu cette pauvre Bellatrix, sauf en plus âgée (xD). Je poussai un soupire pour ne aps rire et commandai à la suite de Nicolas un steak saignant. Après tout, je n'avais pas chasser depuis hier et j'avais faim. Elle nous souria et repartie aussitôt. Je la regardai bizarrement. Qu'avait-elle? Elle n'aimait pas ma robe? Lorsque nous fûmes seuls Nicolas et moi, je le regardai en souriant, mais étant toujours sans voix devant lui. Un humain pouvait-il être si obsedant? Si désrier? Et par une louve en plus?

- J'espère que tu n'as pas eut trop de problème hier concernant tout sa...

Il me ramena à la réalité. Mon couteau se planta dans l'assiette, j'avais coupé mon steak trop fort. Je souriai, gênée, et puis, en recommençant par couper mon steak, je lui répondis :

- Heu, pas vraiment. Mon frère ma engueuler, mais ne m'a pas tuer, c'est bon signe. Il n'est pas au courant pour toi... pour nous, ni pour ce soir...

Nous? C'était sortit malgré moi. Je baissa la tête afin de me concentrer de nouevau sur mon assiette et lui expliqua:

- Mon frère et moi, ainsi que ma jeune soeur, nous.. nous avons formée notre territoire de chasse autour de Poudlard. Mon frère est l'alpha et je dois lui obéir au doight et à l'oeil. Il est très.. très... protecteur envers moi et ma petite soeur. Il ne nous laisse pas souvent allez seule queqlue part... alors, je suis ici, ce soir, en ... en cachette.

Je levai la tête pour plonger mes yeux dans les siens et là, seulement lorsque mes pupilles croisaient les siennes, seulement là, je lui souriai et lui adressant un clin d'oeil. Je devenais moins gênée tout à coup. Était-ce ma faim qui m'avait poussée à être timide?

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Nous mangions tranquillement, se confiant des secrets de famille. Je lui confiais qui était mon père, qui était ma mère et par surprise elle semblait si connaitre beaucoup. Pourquoi? Pourtant seul les aurors et les mangemorts connaissaient le plus leur réputation. Je lui souriais tout le temps, une chose qui prouvait combien j'étais en amour et combien je me sentais bien avec elle. C'était pour moi la plus jolie. Nous avions finis de manger, Ashley avait manger son steak comme-ci elle avait jamais manger de sa vie. Pour moi, elle me dérangeait pas du tout. J'étais près a tout subir pour elle.
C'est alors que la serveuse tamisa les lumières, repoussa les tables et envoya une balade bien mérité. Desfois je pensais qu'elle savait tout sur nous deux et qu'elle voulait m'aider a la courtoiser. Elle me faisait un peu peur. Je souriai gêner et me leva lui tendant ma main:

-Vous savez danser charmante damoiselle?

Je lui fis une révérance et celle-ci me suivit gêner. Sous ses lumières elle me semblait resplendir de beauté. Moi, j'étais si laid a son niveau. Je déposa mes deux mains sur ses hanches. Je savais que j'étais un as a la dance, l'était-elle aussi? Je l'espérais !
Pendant notre slow, je vis sur le bord des lèvres de cette belle louve un peu de sang du steak.....

Je ne compris pas pourquoi, je ne savais pas qui ne voulait plus me retenir, mais j'avança mes lèvres vers son visage, embrassa le bord de ses lèvres pour enlever le sang et réouvrit mes yeux sur un visage pâle.... de terreur ou de surprise? Il restait a voir...

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Assie face à lui, j'oubliais le monde qui nous entourait. J'oubliais aussi la marque des ténèbres qui était dessinée sur mon poignet gauche. Il me donnait un drôle d'effet. Un effet que je n'avais jamais ressentit. Il m'était arrivée d'avoir des histoires d'amour mais pas réciproque. Jamais je n'avais vraiment aimer. Il y avait eu Mike et Jordan. Mais, je les oubliais, je ne pensais même plus à eux car c'était Nicolas qui était devenu le centre de mon univers.
Je terminai mon steak avec appaitit. Je n'arrivais même plus à manger lorsqu'il n'était pas près de moi. C'était seulement lorsqu'il était près de mon corps que j'arrivai à me sentir bien. Mais qu'avais-je? J'étais gênée, j'avais mangée comme si je débarquais tout droit de la forêt, comme si je dormais toujours à la belle étoile. Ahhh j'oublais cette triste réalité, j'étais une sauvage! Je dormais à la belle étoile! Et je vivais en forêt! Et en le regardant, lui, si parfais, si beau, riche et humain, je sentais une clôture entre nous.

Les lumières devinrent moins fortes. Je levai la tête en regardant les ampoules. J'avoue voir quand même très bien dans le noir, mais ce changement de lumire me fit me sentir gênée. Les tables autour de nous s'étaient allignée contre les mûrs. Nous étions seules dans le bar! Combien de temps étions-nous là? Assise je souriai à Nicolas et il se leva pour venir se mettre devant moi. Il me tendit la main et je la regardai sans trop comprendre. Qu'est-ce que sa voulait dire?

- Vous savez danser charmante damoiselle?

- Euhh ... je peux essayée...

Il fit une révérance. Je riai doucement amuser par ça. Je lui pris la main et le suivis gênée,ma robe rouge se ballançant sur mes cuisses. Il déposa ses mains sur mes hanches et je plonger mes yeux dans les siens. Passant mes bras autour de son cou, j'ignorais si s'était ce que je devais faire. Nos regards restèrent plonger l'un dans l'autre, nos sourires s'élargissaient sans cesse et je suivais ses pas de danse sans avoir eu un seul cours de dance. J'avais je n'avais fait ça.
il me regarda alors plus intenssément et je vis son visage avancer vers le mien. Si j'avais eu mes réflexes, j'aurai grogner, mais là, je fermai mes yeux et approcher mes lèvres des siennes jusqu'à ce qu'elles se touchent. Ce fut un bref baiser et lorsqu'il éloigna son visage du mien, je crois que j'avais blêmit.

J'étais terroriser et surprise. J'avais aimé ce baiser. J'avais aimé ça et j'en voulait encore d'autre comme ça de sa part. Mais je venais aussi de choisir l'homme de ma vie. Un espèce de rituel chez els loups. Il était à présent le centre de mon univers. Lui, s'était tou ce qui comptais pour moi. Mais je fesais des erreurs. Je trahisais Jake et la meute, et mon maître.

- ....

Ça restait bloquer dans ma groge. Je secouai la tête et mon visage reprit des couleurs. Dans un élan, étant plus petite que lui, je me levai sur la pointe de spieds pour allez rejoindre ses lèvres de nouveau. Si ça pouvait paraitre brusque, je le lui avait pourtant donne rdans la plus grande tendresse que je n'avais jamais épprouver. Je relâchai ses lèvres et laissa ma tête se creuser un nid dans son épaule. Dansant l'un contre l'autre, comme deux tiges de roses liés ensembles pour l'éternité.

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Elle semblait devenir très nerveuse a la fois songeuse. Cependant, elle se mit sur la pointe des pieds qui me fit sourire car je trouvais cela mignon et m'embrassa avec toute sa tendresse. J'eu des frissons dans le dos, jamais de ma vie j'avais éprouvé de tels émotions c'était si... Si Merveilleux. Son souffle dans mon coup me rendait complètement fou. Je voulais ses lèvres une deuxième fois sur les miennes et puis une troisième et une quatrième, ainsi de suite. Je désirai tant ses lèvres de porcelaine. Je la désirais tant. On aurait dit que mon sang devenait chaud très vite, je désairais son étreinte parfois de peur de lui faire mal, puisque je la tenais fermement dans mes bras. J'avais tellement peur de la perdre.

- Pince moi je crois rêver!

Par surprise elle me pinça, mais ce n'était qu'une joke! Toutefois, je vis que tout était vrai. Elle était tellement, mais tellement belle. Je voulais l'embrasser toute la nuit, je voulais rester coller a elle. Jamais de toute ma vie je fus autant affectueux. Je l'embrassais et des larmes me coulèrent le long des yeux. Puisque je savais que dans pas longtemps j'allais la perdre, elle allait s'échapper de mes bras. Je lui voulais du bien pourtant ! J'aurai crue être emporter par cette baladie qui devenait de plus en plus endiablée. Je la prennais du milieu du dos, lui recommandant de baisser vers l'arrière sa poitrine, je collai mon corps plus près d'elle. Nous dansions.... Si bien! Ashley, elle, dansait comme-ci elle avait toujours dancer de sa vie, elle avait cela dans le sang. Nous bougions nos bassins collés, je tenais fermement et a la fois délicatement le bas de son dos. Nos corps étaient tellement collés. Cette dance était pour moi comme-ci on faisait l'amour, mais habillé.
Vers la fin de la chanson je pris Ashley dans ma bras, elle était si légère, je l'embrassais avec tout mon amour, continuant de verser des larmes de bonheur. Puis, je la redéposa sur le sol lui recommanda de s'assoir et pris des deux mains avec amour, les bécotants.

- Ashley... Smack... Maintenant tu m'écoutes... Smack... Je ..... Je t'aime... Smack.... Je t'aime plus que tout au monde et comme aucun autre hommes pourrait t'aimer... Smack ( Cette fois-ci sur les lèvres, leurs nez coller)... Je te jure protection et tout l'amour dont tu voudras.... A .... Smack.... A une seule condition....Smack... Voudrais-tu sortir avec moi? Je sais bien que c'est tôt, mais la nuit ou je t'ai rencontrer je suis tomber fous, éperdument amoureux de toi. Tu est a mes yeux cette douce colombe qui vient me sauver, sauver mon âme. Alors s'il te plaît réponds moi . Voudrais-tu sortir avec moi....Mon amour? Si la question est négative, donne moi seulement un dernier baiser et va t'en. Si tu le veux, alors saute moi dans les bras et embrasse moi je suis complètement fou de toi!

En disant tout cela, je pleurais de joie et mes yeux brillaient d'amour pour elle. M'aimait-ellle autant que moi je l'aimais? J'allais bientot le découvrir....

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Ma tête nichait toujours dans le creux de son épaule. Malgré qu'il soit un homme, un simple humain, il était imposant et je prenais plaisir à sentir son corps contre le mien. Je laissai mes mains glisser dans son dos en créant des cercles. Il me serrait aussi et je ne voulais pas qu'il me lâche. S'il me lâchait, c'est moi qui resserrais mon étreinte. Tandis que nos corps se berçaient il me dit de le pincer car il croyait rêver. Drôle de demande me dis-je, mais je le pinçai en souriant. Il fut sans doute surpris, mais je lui souriais toujours. Il me témoignait encore et encore de l'amour, me resserrait contre lui. Je sentis alors son souffle dans mon cou et il m'embrassa doucement. Mes yeux se fermèrent et mes bras se resserrèrent à présent autour de son cou.

C'était comme magique. Il m'embrassait et ce drôle de sentiment en moi me donnais de des sensations inconnues mais agréable à la fois. Plus les secondes passaient plus il devenait affectueux et plus je fondais dans ses bras. Plus je devenais câline, je voulais encore plus de baisers plus de caresses. Il me serrait fort mais moi je n'osais pas y allez trop brusquement. J'avais peur de lui faire mal. J'étais faite pour blesser et tuer et je ne voulais pour rien au monde le blesser car en le blessant je me ferrais mal.

La musique devenait plus entraînante, plus envoutante. Il me recommanda de pencher ma poitrine vers l'arrière et il déposa sa main dans le bas de mon dos. Je frissonnai et lui souris. Nos corps étaient tout près et nous dansions. J'avais l'impression que toute l'élégance que j'avais observé chez ces vélanes me possédaient et que j'étais aussi belle et bonne qu’elles. Que je valais vraiment quelque chose à ses yeux. Que je connaissais un autre sentiment que la haine.

De l'amour. Voilà ce que je ressentais pour lui. J'en avais la preuve. Toutes ses sensations dans mon bas ventre, mes oreilles qui rougissaient, mon cœur qui battait encore plus vite, mon sang qui accélérait sa course folle à travers mon corps. Et bizarrement plus nos corps restaient coller, plus mon corps entrait en ébullition. Plus j'avais envie de lui. Plus je voulais le caresser. Plus je voulais des baisers. À un instant il me prit dans ses bras et je m'accrochai doucement à lui en l'embrassant sur la joue. Nos lèvres se rencontrèrent de nouveau et je sentis encore des larmes coller sur son visage. Je voulu les chasser mais mes mains étaient déjà posées sur son torse à détacher sa cravate et doucement sa chemise. C'est moi qui avais chaud et c'est à lui que je retirais les vêtements (xD). Il me ramena à la table et continua de m'embrasser et je les rendais toujours avec tendresse et passion. Et entre chaque baiser, à chaque souffle que nous reprenions, il me parlait:

- Ashley... Smack... Maintenant tu m'écoutes... Smack... Je ..... Je t'aime... Smack.... Je t'aime plus que tout au monde et comme aucun autre hommes pourrait t'aimer... Smack ( Cette fois-ci sur les lèvres, leurs nez coller)... Je te jure protection et tout l'amour dont tu voudras.... A .... Smack.... A une seule condition....Smack... Voudrais-tu sortir avec moi? Je sais bien que c'est tôt, mais la nuit ou je t'ai rencontré je suis tombé fous, éperdument amoureux de toi. Tu es a mes yeux cette douce colombe qui vient me sauver, sauver mon âme. Alors s'il te plaît réponds moi . Voudrais-tu sortir avec moi....Mon amour? Si la question est négative, donne moi seulement un dernier baiser et va t'en. Si tu le veux, alors saute moi dans les bras et embrasse moi je suis complètement fou de toi!

Je le regardai dans les yeux. À quelques centimètres de son visage, je collai mon front au sien et lui souria. Puis je l'embrassai.

- C’est toi qui sauve mon âme Nicolas. Je ne suis rien. Et voilà qu’enfin, je me sens devenir quelqu’un.

Je restais immobile dans ses bras. Mes yeux clos durement et mon front pressé contre le sien. Et je me levai. J'avais peur. Et si Jake apprenait tout ça? Il pourrait le tuer. Lui faire du mal. Je craignais le pire. Debout devant lui, je vis son sourire s'effacer. Mais le mien s'étira et je me fichai de mes craintes. Ces yeux effaçaient tout. Peu importe ce que penserait Jake et les autres, peu importe ce que mon maître dirait. Alors je lui sautai dessus comme il avait dit. Sauf que dans mon élan, la chaise bascula et nous tombâmes par terre. J'étais sur lui et lui sous moi. Je riais en grimpant un peu sur lui pour avoir mon visage à la hauteur du sien. Mes cheveux dans mon visage, Nicolas les chassa avec sa main et je le regardai tendrement. Je me fichai de ce que la grosse dame au bar pouvait penser. J'étais amoureuse pour la première fois et je le serais éternellement de cet homme:

- Oui, oui je veux sortir avec toi Nicolas ! Jamais je n'avais ressentis ça auparavant. Et je te jure tout mon amour, protection, fidélité et confiance. Tu es tout ce que je désire de la vie Nicolas, tout ce que je n'espérais plus. Je te suivrai partout, je serrai toujours là pour toi. Aucune personne qui désire te faire du mal ne pourra t'approcher, jamais. Je les tuerai moi même, quitte à enfreindre les lois de mon frère.

Je le regardai dans les yeux et fondis de nouveau:

- Je t'aime tant

Et je l'embrassai langoureusement et tendrement.

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Mon coeur battait a tout rompre. Et s'il ne voulait pas être avec moi? Et s'il ne m'aimait-elle pas comme moi je l'aime? Je serais perdue. C'est alors qu'elle se leva. Mes lèvres tremblèrent, mes yeux devinrent plus vitreux, un gars qui pleur...C'était un miracle. Mes les hommes aussi avaient des sentiments seulement ils les ravalaient ! Mon sourire s'était effacer, mais le siens s'était aggrandit. Avait-elle tant de malice dans son cachot pour me faire autant de peine? Mais ces alors que dans un élan de surprise, elle me sauta dans les bras, se fichant de tout ce qui était autour: chaise, serveuse, poussière. Elle grimpait sur moi comme un serpent et ses cheveux me bloquèrent une si belle vue. Je balaya ses cheveux de mon visage et caressa avec la plus grande amour que j'éprouvais pour elle ses joues et son oreille.
Elle me fit un dicton que je ne pourrais jamais oublier de toute ma vie, il se gravait en mon intérieur, en mon coeur. Je lui faisais confiance, elle restera mienne et je resterai siens.
C'est alors qu'elle fondit, me dit combien elle m'aimait et m'embrassa langoureusement. Mes mains caressant le bas de ses hanches, mon autre son coup . J'étais si heureux de cette réponse. C'était la, la première fois que j'aimais vraiment...

***

La Serveuse avait fait son rôle, elle était partie depuis le tout début, mais elle restait présente en mon esprit. J'avais un impression de déja vue, cette femme... blonde au boucle en tir-bouchon, vieille. J'avais souvent l'impression de quelque chose... Mon père? Peut-être l'avait-elle connue et que par mon physique ressemblant elle voulut en faire de même?
Je souriai, la main dans celle de ma douce. Nous marchâmes sur le chantier, loins de pré-au-lard et de chez moi. Je voulais lui montrer la ou elle pourrait vivre, la ou je voulais qu'elle se sente bien, plutôt que dans la forêt. Nous transplanâmes et deux oiseaux se poursuivairent dans le ciel...

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