Souvenirs du passé [Pv Yanny] [TERMINE]

Invité

« Past is past. You can't change it... »

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Alice n'avait rien à faire, en cette fin de journée. Les cours étaient enfin terminés, et la Serpentard se rendait à sa salle commune avec un grand soulagement. Cette journée avait été complète, remplie de cours de son début jusqu'à sa fin, et la jeune fille n'en pouvait plus. Elle se dirigea ainsi jusqu'à son dortoir, où elle laissa tomber son sac aux pieds de son lit, sans même prendre la peine de regarder les devoirs qu'elle avait encore à faire.

Non, ce soir encore, elle ne travaillerait pas, elle était bien trop fatiguée pour ça. La jeune fille s'allongea sur son lit, sans pour autant rien faire d'autre que de fixer le plafond au dessus de sa tête. Elle était tellement fatiguée de sa journée qu'elle pensait s'endormir là, mais c'était sans compter sur les bruits qu'il y avait dans son dortoir à cette heure.

Poussant un soupir, la jeune fille se résolu finalement à ne pas dormir. Elle resta immobile pendant de longues minutes, à réfléchir à tout et à rien, à vider son esprit le plus possible pour retrouver enfin la sérénité qu'elle avait connue en début d'année, lorsque les cours n'étaient pas commencés et qu'elle n'avait pas encore eu de nouvelles de son père. Mais la situation était bien différente désormais, et la jeune fille tentait de se sortir toutes ces idées de sa tête.

Et comme elle ne voulait pas s'ennuyer pourquoi ne profiterait-elle pas de l'immense étendue du parc ? Elle était au dépard dans le dortoir des filles des Serpentards, ce qui était logique puisqu'elle en était une. Elle s'y ennuyait et puis elle n'avait pas envie d'entendre les ragots à ce moment là. Même si elle adorait répendre des rumeurs parfois, pour ainsi voir les réactions des élèves face à ces fausses nouvelle, là elle n'en avait pas envie. Alice passerait peut-être à nouveau pour une solitaire endurcie, pour une jeune fille qui ne souriait jamais, qui n'était pas sociable dès lors qu'il y avait plus de deux personnes avec elle, mais ce n'était pas grave elle se fichait ce que les autres pourraient dire d'elle.

Elle avait été habituée, dans son enfance, à être jugée comme telle et à devoir supporter la méchanceté de ses camarades. Elle avait été habituée à être regardée comme une enfant bizarre, qui ne parlait jamais aux autres et à qui on n'avait jamais entendu le son de la voix. Elle en était encore quelques fois blessée, si elle entendait certains élèves du Château lui faire de telles remarques, mais elle avait tellement travaillé sur elle même et son caractère qu'elle n'entendait presque plus de remarques de ce genre. Elle ne s'offusquerait donc pas d'une de celles-ci, pour une fois.

Car son silence lui permettait une chose que les autres ne savaient pas forcément faire : pouvoir observer les élèves, tous autant qu'ils étaient, pour apprendre à mieux les cerner. Certaines choses qu'elle avait remarquées pouvaient en surprendre plus d'un, mais Alice gardait tout ce qu'elle pouvait deviner pour elle et ne le confiait à personne, pas même ses meilleurs amis ou confidents.

Bref, Alice quitta sans plus attendre son dortoir, dans le silence le plus total avec sur l'épaule son sac en brandoulière qui comportait ce dont elle aurait certainement besoin pour se distraire.

Lorsqu'elle sortit de la salle commune, elle marchait tranquillement, tout en prenant son temps et en observant les yeux alentours. A quoi bon se presser, de toute façon ? Rien si l'on avait rien à faire, et que la soirée s'offrait à nous, comme c'était le cas d'Alice ce soir.

La jeune fille ne savait pas très bien où elle allait aller, tout ce qu'elle savait était qu'elle voulait passer un moment tranquille, loin des foules et à l'extérieur. En sortant de sa salle commune, elle croisa quelques élèves qui rentraient dans la salle commune dans les couloirs des cachots. C'était vrai que c'était bien d'être à cet endroit mais pas entièrement puisqu'ils n'avait pas la chance de pouvoir voir des choses que les autres voyaient puisqu'ils étaient dans les étages. Elle aimait bien cette vie mais bon elle aimait autant l'air libre, voire plus. Lorsqu'elle fut dans le Hall, elle se rendit jusqu'aux immenses portes en chêne, et dévia en direction du parc.

Elle avait finalement décidé d'aller la bas un point c'est tout alors elle irait, elle n'aimait pas ne pas faire les choses qu'elle avait décidé.

Une fois dans l'immensitée du parc, elle se chercha un petit endoit tranquille. Elle avait besoin de moment seule et l'avantage de cet endroit était que l'on pouvait ce poser quelque part sans que quelqu'un nous remarque. Alors quand on avait besoin de solitude, c'était le meilleur endroit où aller. Elle avait pris son materiel préférés pour ses moments seules, qui lui permettait de pratiquer ce qu'elle préférait : le dessin. D'après certains, elle était doué, même si Alice n'en était pas si certaine. Ce qui comptait le plus pour elle c'était qu'elle se débrouille mieux en dessin qu'en vol sur balai, sans quoi elle ne saurait pas quoi faire de son matériel à dessin.

Elle choisi un arbre contre lequel elle s'asseya et s'adossa, puisqu'elle n'avait pas vraiment d'autres endroit où elle avait envie de se mettre, cet arbre, elle y était souvent venue l'année passée, et il était un petit peu devenu comme un certain repère pour la jeune fille.

Tandis qu'elle sortait tout son nécessaire pour dessiner, l'esprit de la jeune fille commença à partir loin d'ici, se remémorant au passage des souvenirs passés, très lointains, enfouis dans sa mémoire et dont elle ne s'était pas souvenue depuis un bon moment.

Elle se remémorait ce dimanche après midi qui avait précédé la mort de sa mère, pendant lequel le couple Thompson avait emmené leur fille dans un parc de Londres pour passer un petit moment en famille. Ce jour là, sa mère et elle avaient fait de la balançoire, et Charly avait pris une photo d'elles. Alice se rappelait très bien ce jour, parce qu'il était l'un des derniers moments de bonheur qu'avaient passé toute la petite famille avant de se retrouvée éclatée avec le décès de sa mère.

Mais elle s'en rappelait également parce qu'elle gardait religieusement la photo qu'avait pris son père ce jour là. C'était la seule qu'elle avait réussi à retrouver dès son retour chez son père, la seule qu'il avait oublié de jeter... Depuis, Alice ne s'en séparait que rarement, et s'amusait à faire quelques protraits d'elle et sa mère, parfois souriant, parfois pleurant ensemble, riant même toutes les deux... Alice améliorait ses dessins au fil des jours qui passaient, elle se représentait aux côtés de sa mère, une fois jeune comme à l'épouqe de la photo, puis plus âgée.

Le dernier dessin qu'elle avait commencé à faire représentait simplement sa mère, sans elle, cette fois-ci. Il était presque terminé, et Alice comptait bien le finir aujourd'hui. Alors qu'elle était bien installée contre son arbre, Alice sortit ses affaires et reprit son dessin où elle l'avait laissé la dernière fois. Elle était tellement absorbée par son dessin qu'elle ne remarqua pas qu'il y avait quelqu'un qui la regardait faire.

Invité

Voila que la journée a passer super vite et disons que j’ai apprécier tout mes courts mais a quelque reprise je me suit fait niesser pas mal souvent pour des raisons assez stupide et comme la dernière fois, mon Jay Bleu a disons attaquer la prof de jardinage car elle avait jeter ses fleurs proférer. Mais comme c’était encore une autre magnifique journée et bien je desidas d’aller m’aventurer dans le parc pour aller prendre de l’aire et aussi pour aller amuser JoJo, mon oiseau.

Je courras a tout vitesse pour le suivre et disons que je ne pouvais pas vouller pour le rejoindre mais disons que je le depassa a vue de voir que j’etait pour foncer dans un tron d’arbre. Je l’avais vue dans ma boulle de cristal et aussi, j’ai réaliser que je commençais a voir des visions et le futur avec mes yeux bleu. C’était assez extra mais personne ne le s’avait que j’était capable de faire sa.

Mais j’était capable de le faire pour voir la fille d’on j’ai toujours rever de voir. Elle était assis près d’un tron d’arbre avec ses choses pour faire du dessin et aussi, elle portas l’uniforme de Serpendar. Et avec sa chevelure bloquer doré et bien tout était parfait. Elle avait des yeux magnifique avec des lèvres aussi rouge qu’une rose.

Je me laissa voir par elle et disons que elle se sentait un peut gêner de voir que je la regardais mais disons que aussi sa lui dérangeais pas car comme je la connaît, elle est surment entrain de faire quelque chose de passionnent. Je marchas vers elle sens essiter et aussi, je sautas sur une branche d’abre et je la regardas a l’envers.

-Salut Alice.

Elle sursautas et avec son mouvement, je tombas sur le dos sur la tonne de feuille morte qu’il y avait part terre.

Invité

Alice avait enfin trouvé, au sein même du parc, la tranquilité à laquelle elle avait tant tenu. La jeune fille avait eu une longue journée, et elle ne s'était pas sentie capable de faire ses devoirs. Elle aurait très bien pu rester dans sa salle commune ou son dortoir, mais Alice savait par expérience que si elle restait là sans rien faire, ses pensées se tourneraient inévitablement vers tout ce qui la tracassait ces temps-ci, et c'était bien la dernière chose qu'elle voulait.

En effet, même si les mauvaises nouvelles annoncées par son père avaient pas mal accaparé ses pensées ces derniers jours, la jeune fille avait décidé cette fois d'oublier une bonne fois pour toutes toute cette histoire. Elle ne voulait plus avoir à se remémorer ce que lui avait dit son père. Elle ne voulait plus ruminer seule sa colère et sa tristesse, elle voulait avancer.

Certes, son avenir - au sein même de sa "famille" - était toujours aussi incertain, mais cela n'était rien. Personne ne pouvait-être certain de son avenir, de toute façon, et même si la jeune fille de Serpentard avait une peur bleue de ce qui pourrait lui arriver, plus rien aujourd'hui ne pouvait la rassurer.

Sa vie allait sûrement changer, son père l'abandonnerait peut-être, mais que pourrait-elle faire pour changer cela ? Rien, rien du tout. Non, Alice ne pourrait rien faire pour empêcher son père d'agir comme il le souhaîtait. Elle se retrouvait à nouveau impuissante, à croire que cela allait devenir une habitude pour elle... Mais dans le pire des cas, dans celui où, son père l'abandonnerait à nouveau, que lui arriverait-il ? Elle retournerait en foyer, comme avant. Elle retournerait aux côtés des personnes qu'elle avait détesté durant toute son enfance. Elle se retrouverait au milieu de moldus dont les parents sont décédés, en attendant qu'une famille généreuse décide finalement de l'adopter, elle aussi.

L'adoption... N'était-ce pas tout ce qu'elle avait toujours voulu avoir, lorsqu'elle était plus jeune ? Bien sûr ! Une famille, de l'amour... C'était tout ce qui lui avait manqué, et tout ce qui lui manquait toujours.

Mais il fallait être réaliste : l'amour ne durait pas. Non, l'amour ne durait pas, elle ne le savait que trop bien. Toutes ces personnes auxquelles elle s'était attachée pendant son enfance, pendant même sa scolarité à Poudlard, elle les avait perdues. Tout avait commencé par sa mère, puis son père... Les seuls amours qu'elle avait connu à Poudlard, elle les avait perdus aussi. Le dernier en date était Maxime, qu'elle avait quitté parce qu'elle avait simplement eu peur...

Peur de quoi ? De la suite de leur relation, tout simplement. Ca avait été lorsqu'elle s'était encore plus attachée à lui qu'elle avait fini par le quitter... Ce qui tombait bien, puisque Maxime aussi, voulait rompre. Au final, aucun des deux n'avait été prêt pour une relation sérieuse.

Mais aujourd'hui, tout semblait différent... Peut-être pas vis à vis de Poudlard, mais vis à vis de son père, tout du moins... Oh bien sûr, elle le détestait toujours autant... La seule différence était que désormais, elle le reconnaissait : elle avait peur que tout recommence, elle avait peur qu'il la laisser. Cela pouvait sembler stupide, lorsque l'on savait qu'à son arrivée chez son père, Alice n'avait voulu qu'une seule chose : repartir. Elle le détestait, et pourtant, elle ne voulait pas le quitter. Elle ne voulait pas quitter la maison familiale, ni son père moldu. Parce qu'il était simplement tout ce qui la rattachait encore au passé.

Ca lui faisait mal de le reconnaitre, mais malgré tout, malgré sa haine envers lui, et malgré la souffrance qu'il lui avait fait subir, elle savait qu'il était tout ce qui la rattachait encore à sa mère.

Pourtant, il ne faisait rien pour l'aider à se souvenir de sa mère. Son père avait jeté toutes les affaires d'Amy, et tout ce qu'Alice avait trouvé la rattachant encore à sa mère avait été une malle contenant quelques vêtements, une photo encadrée d'elle et sa fille prise lors d'un pique nique fait par la famille un dimanche après midi, mais également un journal intime qu'elle avait récupéré et qu'elle avait lu.

Ce soir, Alice avait besoin de s'éloigner de tous ces drames, d'oublier le passé, l'espace de quelques minutes. Et la seule solution pour ça était de prendre l'air. C'était ainsi qu'elle s'était retrouvée assise contre un arbre, avec son matériel à dessin sur les genous. La Serpentard n'avait pas réussi à se sortir de la tête tout ce qui la tracassait ces derniers jours, et c'était ainsi qu'elle avait commencé à faire un portrait de sa mère.

Elle l'avait presque terminé, si ce n'était les couleurs qui manquaient. Le dessin était plutôt réaliste, Alice pouvait le reconnaître. Elle avait représenté sa mère avec son habituel sourire aux lèvres, et les yeux toujours aussi pétillants qu'elle les avait connu. Elle avait presque l'impression de se voir sur le papier... Elle ressemblait beaucoup à sa mère, à vrai dire. Si elle n'avait pas su qu'elle avait représenté sa mère, elle aurait sûrement pensé qu'elle se serait représenté elle même, en plus âgée, dans quelques années.

La jeune fille était tellement absorbée par ce dessin qu'elle faisait qu'elle n'avait pas remarqué le regard de Yanny posé sur elle. A vrai dire, elle ne remarqua la présence du Serdaigle que lorsque celui-ci s'approcha pour sauter sur une branche d'arbre à côté d'elle. Alice sursauta, et releva les yeux vers Yanny. Le Serdaigle avait un look assez particulier, qui contrastait parfaitement avec l'image du petit Serdaigle propre sur soit qu'elle s'était toujours imaginé.

Yanny resta suspenduà la branche, tout en regardant Alice à l'envers. La Serpentard accorda au jeune homme un timide sourire, tandis que celui-ci la salua. A sa plus grande surprise, il lâcha à cet instant la branche à laquelle il s'accrochait, et tomba sur les feuilles mortes au pied de l'arbre. Alice ne s'était pas attendu à cela. Elle était surprise, mais elle retrouva vite un visage neutre. Yanny était sur le dos, maintenant, et la jeune fille lui lança un regard inquiet. Elle espérait qu'il ne s'était pas fait mal. Même si les feuilles avaient amorti sa chute, on ne savait jamais.

Elle répondit alors :

- Salut.

Elle regarda la jeune homme, et lui demanda :

- Tu vas bien ?

Question banale, qui lui dirait s'il s'était fait mal ou non, et qui engagerait une conversation entre le Serdaigle de Septième année et la blondinette de Troisième année. En attendant, elle laissa son dessin de côté et ne s'en soucia plus en attendant la réponse de son ami.

Invité

Encore une fois mon dos a craquer et maintenant je sentais de la tension dans mon dos. Sa me rapella la fois quand je jouais avec mes amis au Foot dans le parc a Londre. Je me suit fait ramasser par mon meilleur ami qui aujourd’hui j’ai complètement oublier de nom et bien il passait au moins 400 kilo et disons que son placage ma fait tourner a l’envers.

Je me suit jamais souvenu de rien après se jours la, juste les bruit de la machine a hôpital pour voir si j’était encore dans se monde. Mais pour mes parents sa ne pouvais dire que grand chose pour eux car mon père était infirmiez et disons que ma mère lui donna des ordres pour prendre soin de moi.

Une chance que je n’est pas tomber sur JoJo. Non, au contrère, JoJo etait rendu sur l’épaule de Alice et il lui donnait des petit calin chaleureux comme il fait toujours avec moi quand je dort ou quand je suit entrain de faire des devoirs. Mais la avec Alice, il était encore plus attacher a elle que Bella.

-Je croix qu’il tient bien JoJo...

Je me relevas en tennent mon dos et je me plias un peut pour sentir mon dos se remettre en place et disons que j’ai donner des frissons a Alice quand il a craquer.

-Et je vais super bien, merci.

Invité

Alice dessinait tranquillement dans le parc, son esprit vagabondant à la fois entre le passé et le présent... La jeune fille se remémorait des tas de souvenirs, tout en représentant - du mieux qu'elle le pouvait- sa mère. Ces souvenirs, tous aussi lointains les uns que les autres, auraient facilement pu la faire souffrir. Mais aujourd'hui, ils étaient tout ce à quoi elle se rattachait, et en un sens, ils l'apaisaient.

La jeune fille avait enfin trouvé la sérénité qu'elle était venue chercher dans cet endroit isolé du parc et peu fréquenté, elle ne s'était pas vraiment attendue à voir quelqu'un. Et pourtant, alors qu'elle avait presque terminé le portrait de sa mère, la jeune fille fut surprise d evoir Yanny, un élève de Serdaigle, de quatre ans son ainé, s'approcher d'elle.

Le jeune homme semblait au premier abord extraverti : cela était dû à son look particulier, et à son attitude tout sauf sérieuse... Oui, Alice ne considérait pas Yanny comme quelqu'un de sérieux. Pas autant, en tous cas, que l'étaient ses camarades de maison. Le jeune homme s'était approché d'elle, et était monté sur une branche non loin d'elle.

La tête à l'envers, il l'avait saluée, avant de tomber dans les feuilles mortes étalées au pied de l'arbre. Alice s'était un peu inquiétée de son état après ça, surtout qu'il restait allongé, sans se relever. Elle lui avait alors demandé si ça allait.

Avant que Yanny ne lui réponde, son oiseau, qui l'accompagnait, vint se poser sur l'épaule d'Alice. La jeune fille le regarda un instant, pas très rassurée par l'animal. A vrai dire, elle ne s'était pas attendue à ce que son oiseau se pose sur elle. Voyant cela, Yanny lui fit remarqué qu'il pensait que son "Jojo" l'aimait bien. alice sourit légèrement, avant de pousser un léger soupir.

- Il doit bien être le seul alors...

En effet, la Serpentard avait plus d'ennemis ici que d'amis, et les animaux qui s'approchaient d'elle étaient rares. Seul Snow avait su l'accepter. D'ailleurs, où était son chat ? La jeune fille regarda aux alentours, sans succès. Son cat s'était fait la malle...

La Serpentard ne comprenait pas pourquoi l'oiseau de Yanny l'aimait bien... Les animaux aimaient-ils les gens au mauvais caractère et indécis ? Généralement non. L'oiseau, comme son maitre, devait être une exception.

La jeune fille reporta son attention sour Yanny, qui se relevait désormais. Il se tenait le dos... Pas étonnant ! A vouloir faire le malin, il s'était fait mal ! Son dos craqua un bon coup, avant qu'il ne réponde qu'il allait super bien, et qu'il la remercie. Alice lui répondit simplement par un léger sourire. Elle regarda le Serdaigle quelques secondes, avant de lui demander :

- Qu'est-ce que tu es venu faire ici ?

En attendant sa réponse, elle prit le portrait de sa mère, et le rangea. Ce n'était plus vraiment le moment de dessiner... Elle rangea avec soin ce portrait auquel elle tenait tant, en songeant qu'elle y mettrait des couleurs plus tard. En attendant, elle releva les yeux vers Yanny, en attente de sa réponse.

Sentant toujours Jojo sur son épaule, la jeune fille tourna la tête vers l'oiseau, avant de s'adresser à lui :

- Tu ferais bien de faire attention. Si Snow te voit ici, il ne fera qu'une bouchée de toi.

Elle ne voulait pas effrayer l'oiseau. Juste le mettre en garde. Son chat ne supportait pas les autres animaux, généralement surtout ceux qui n'étaient pas de son espèce. Il ne supportait pas non plus que des personnes ou autres la touchent... Oui, Snow avait beau être un simple petit chat, il était comme son chien de garde, son protecteur, et c'était d'ailleurs bien étrange qu'il ne soit pas ici à cet instant...

Invité

Comme je connais Alice, son caractère d’une Serpentard ne change pas vraiment , vraiment mais se n’est pas sa qui conte de sa personnalité.
Se qui conte le plus et bien, c’est quelle soit accompagnée des personnes quelle aime et qui l’aime. Comme moi d’ailleurs je n’est jamais trouver le moyen de lui dire quelle point pendent tout ses années elle est devenu importante pour moi.

Je pris place près d’elle et JoJo resta encore sur l’épaule de Alice. Aussi JoJo na jamais eux vraiment peur de Snow son chat mais c’était plus tôt moi qui en avait peur les première fois que moi et Alice, on c’était rencontrer pour la première fois. Elle me détestait au point de me tuer, mais a chaque fois que je partais loin d’elle et bien elle tourna toujours sa tête et elle me regardas avec un petit sourire charment et timide.

-Ques-ce que je fait ici?

*Bonne question.*

-Et bien je voulait profiter de la journée un peut et comme par hasard, j’ai croisé une jolie fille au cheveux blond bouclé avec des magnifique yeux vert.

Elle tourna sa tête comme si elle se sentait visé. Normalement, elle devrait se sentir comme sa car je vient de la décrier comme je la vois dans mes rêves. J’avait peur quelle me face la morale avec les compliment que je lui est fait, mais tout le contraire, je sentie un doue baissé léger sur ma joue qui ma rendu aussi léger que les plumes de JoJo.

-Merci. ( Avec un Clin d’oeil)

Invité

Alice avait eu la chance de croiser Yanny, en cette soirée qui débutait. Il fallait dire qu'elle n'avait pas vraiment eu besoin de compagnie, puisqu'elle avait eu de quoi l'occuper, mais pour une fois, la jeune fille n'était pas contre la présence de quelqu'un à ses côtés. Généralement, la solitude à laquelle Alice s'était habituée prenait le dessus. Elle préférait souvent rester seule, et c'était ce qu'elle avait prévu de faire en s'isolant pour dessiner, elle ne s'était pas vraiment attendue à ce que quelqu'un comme Yanny la rejoigne.

Mais sa compagnie ne la gênait pas, au contraire. Elle lui permettait d'éviter de continuer à ressasser le passé comme elle le faisait déjà depuis trop longtemps. C'était peut-être l'un des défauts principal de la jeune fille : elle vivait trop dans le passé, et n'arrivait pas, à cause de ça, à profiter au mieux du présent. Cependant, malgré sa conscience des choses, la Serpentard avait bien du mal à se faire une raison.

Beaucoup trop d'évènements, ces temps-ci, avaient tendance à remémorer à la jeune filles certains épisodes douloureux de son passé, dont elle n'arrivait pas à se défaire. Avec un peu de chance, la compagnie de Yanny l'occuperait suffisamment pour qu'elle mette de côté ses idées noires...

Le jeune homme s'était approché d'elle, et après avoir joué le malin du haut d'une branche, les deux amis avaient engagé une conversation. L'oiseau de Yanny était pausé sur l'épaule d'Alice, et celle-ci avait demandé au Serdaigle ce qu'il faisait ici. Il lui répondit qu'il voulait profiter de la journée, et qu'il avait, comme par hasard, croisé une jolie fille aux cheveux blonds et bouclés avec des magnifiques yeux verts. Pas besoin d'être bien malin pour comprendre que le jeune homme faisait allusion à elle. En même temps, des filles correspondant à la description si l'on enlevait toute fois le mot "jolie" n'étaient pas nombreuses...

La jeune fille détourna le regard à ses mots. Elle était gênée... Elle n'aimait pas ça, elle détestait plus que tout être prise au dépourvu comme ça. Malgré tout, elle était surprise d'entendre Yanny lui parler ainsi. Elle l'aurait cru moins... charmant. A vrai dire, elle n'aurait jamais cru qu'il pourrait lui parler ainsi. Cependant, elle décida de ne pas trop se laisser surprendre par ses mots.

Si elle laissait un silence trop long s'installer entre eux, le Serdaigle devinerait qu'elle était gênée, et c'était bien la dernière chose qu'elle voulait... Ne sachant pas quoi faire pour rompre ce silence, la jeune fille se contenta d'un baiser sur la joue du Serdaigle.

Celui-ci la remercia, avant de lui adresser un clin d'oeil auquel Alice répondit par un léger sourire. La Serpentard, après un autre instant, plongea à nouveau son regard dans celui de Yanny, avant de saisir d'une main la cravate aux couleurs de Serdaigle du jeune homme. Elle s'approcha de lui, collant son front à celui du jeune homme, laissant leurs nez se frôler et leurs souffles chauds commencer à s'entremêler.

Là, sans une autre hésitation, elle donna un baiser à son ami. Son baiser, cependant, n'était pas amoureux. Non, il était plutôt passionné, et joueur. Etait-ce des sentiments qui poussaient la jeune fille à agir de la sorte, ou juste l'envie de jouer, d'oublier quelques instants ses problèmes ? Les deux solutions étaient possibles, et pour le moment, Alice se souciait peu des motivations qui l'avaient poussée à faire ça.

Tout ce dont elle avait envie, était de faire durer cet instant, de prolonger ce baiser qui lui donnait des frissons dans tout son corps et qui lui donnaient juste l'impression de revivre. Ce baiser la rattachait au présent, et c'était tout ce qui comptait. Loin des problèmes et loin de la mort, le baiser qu'elle donnait à Yanny lui donner un second souffle, tout en prenant celui du jeune homme.

Au fil de leur baiser, la Serpentard s'était montrée plus passionnée. Elle avait commencé par passer ses mains autour du cou du Serdaigle, qui répondait maintenant à son baiser, puis elle avait remonté celles-ci jusque dans ses cheveux. Elle ne lachait désormais plus le jeune homme, et elle mit enfin une fin à leur baiser après quelques minutes. Le souffle de la jeune fille était saccadé, mais sans plus attendre, elle embrassa tendrement le cou du Serdaigle, déposant de doux baisers ici et là.

Cette étreinte, à la fois douce et sauvage, la ramenait à la vie. Oui, elle se sentait en vie, et elle ne connaissait rien de plus bon que ce sentiment qu'elle connaissait à cet instant. Relevant les yeux pour les plonger dans ceux du jeune homme, elle attrapa la lèvre inférieure du Serdaigle qu'elle mordilla entre ses dents quelques secondes.

Tout en lançant un regard déterminé au Serdaigle, la jeune fille relâcha enfin ses lèvres, avant de demander dans un murmure :

- Embrasse moi...

Elle continua de soutenir le regard de Yanny, en attendant de savoir si oui ou non, il répondrait à sa requête.

Invité

Tout était maintenant merveilleux. Je ne s’avais plus quoi pence et aussi se qui était encore plus fascinant et bien c’était quelle commença a m’embrasser. Je ne pouvais pas résister. Elle pris ma cravate et commença a m’embrasser et je sentie c’est douce lèvres partout. Dans mon coup sur ma joue et pour finir elle mordilla ma lèvres qui me plaisais beaucoup de la voir comme sa.
Dans un murmure, elle m’avais demander de l’embrasser. Je ne pouvais pas dire non pour sa. Voila que la belle jeune fille de mes rêves ma demander se que je voulait lui demander a son tour. Je me levas en la prennent par la taille et je mis mes deux mains sur sa taille et je commença a m’approcher de elle tout en effleurent son nez tout mignon et je lui donna des baisser qui était après un long baisser qui duras le temps qu’il faudras mais le temps prendra et bien c’etait le temps que je pris pour être heureux avec elle.

-Est tu fière de ta réponse Alice?

Je levas un peut sa chemise blanche pour que main touche la peau de ses anches et je lui donna des frissons qui lui fessait sourire. Moi qui était plus grand que elle et bien, me pencher n’était pas un problème. Mais peut après, je passa ma main sur ses bras et je les flattais et je pris un souffle pour lui donner le câlin quelle rêvais en lui disent:

-Alice, te sens tu heureuse? Si oui, je le suit car je t’aime.

Invité

Alice n'avait pas pensé une seule seconde qu'elle se mettrait à embrasser son ami de Serdaigle. A vrai dire, elle ne s'était même pas imaginé qu'elle le verrait. Tout avait été si vite, que son geste la surprenait elle-même. La Serpentard était d'abord venue pour s'isoler, et dessiner. Mais elle avait rapidement été rejointe par Yanny et son oiseau, qui s'était posé sur son épaule.

Après un début de conversation plutôt normal, la rencontre des deux élèves avait pris une tournure très différente de ce qu'elle avait été. Yanny avait commencé par faire un compliment à Alice. Mais ce compliment, au lieu de faire plaisir à Alice, l'avait plutôt mise mal à l'aise. La jeune fille le reconnaissait, elle avait été gênée. Quoi qu'il en soit, elle n'avait rien trouvé à répondre à son ainé. Alors... Elle l'avait embrassé.

Elle s'était alors lancée dans un baiser des plus passionnés, saisissant d'abord la cravate bleue du Serdaigle avant de s'accorcher désespérément à son cou. La jeune fille n'avait peut-être jamais embrassé quelqu'un ainsi. Le fait était qu'elle en avait juste besoin. Ce baiser l'avait ramenée à la vie k'espace de quelques secondes, il lui avait donné un second souffle, et ça faisait bien longtemps que la Serpentard n'avait eu l'occasion d'être si démonstrative avec quelqu'un.

Après son baiser, elle avait embrassé à nouveau Yanny, dans le coup cette fois-ci, avant de lui demander dans un murmure de l'embrasser. Yanny ne se fit pas prier. Il répondit à la requête de la jeune fille, en se levant d'abord, et en entrainant la jeune fille avec lui. Il la tenait par la taille, mais il ne l'embrassa pas immédiatement. Impatiente, Alice ne quittait pas ses yeux bleus du regard, et attendait ce baiser qu'elle désirait tant. Elle voulait retrouver cette sensation qu'elle avait ressenti quelques secondes plus tôt, cette impression qu'elle était enfin en vie et que rien ni personne ne pourrait lui arracher ce droit de vivre, ni même lui prendre sa liberté de faire ce qu'elle voulait, quand elle le voulait, comme elle l'avait fait avec Yanny.

Le nez de Yanny effleura le sien, et elle eu enfin ce qu'elle avait voulu. Elle savoura les baisers du Serdaigle, y répondant même avec plaisir. Alice avait encore une fois ses bras autour du cou du Serdaigle et elle répondait à son baiser comme elle l'avait fait précédemment. Après un instant, les deux adolescents cessèrent leur baiser, et leur étreinte, et Yanny demanda à la Serpentard si elle était fière de sa réponse.

Accordant au jeune homme un vague sourire, elle se contenta d'un timide hochement de tête, sans ajouter rien de plus. Les mots n'étaient pas de rigueur à cet instant, tout ce qui comptait était le silence, et la possibilité de profiter de chaque instant donné.

Yanny leva alors légèrement la chemise de son uniforme, avant de poser ses mains sur ses hanches. Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune fille, qui commença elle aussi à toucher la chemise du jeune homme. Ses mains désormais sur son torse remontèrent légèrement, et elle déserra la cravate aux couleurs de Serdaigle avant de s'attaquer au bouton du haut de la chemise de Yanny, afin d'avoir un meilleur accès à son cou. Elle embrassa à nouveau son cou, avant de déposer sa tête contre son torse. Le silence s'était de nouveau installé entre eux, mais ce n'était pas réellement étonnant, puisqu'Alice n'était pas de nature bavarde.

Quoi qu'il en soit, le Serdaigle passa ses mains sur les bras d'Alice, et commença à les caresser lentement tout en lui demandant si elle se sentait heureuse. D'abord surprise par la question, la Serpentard s'apprêtait à lui demander pourquoi il la lui posait, mais Yanny ajouta bien vite que si c'était le cas, il le serait aussi car il l'aimait.

Alice resta d'abord sous le choc de ses paroles. Immédiatement, sa méfiance et son don d'empathe refirent surface. Et là, elle ressenti en effet l'amour que lui portait Yanny... Un amour profond, mais tellement gênant... Gênant oui, parce qu'elle était certaine que le Serdaigle faisait fausse route... Elle ne doutait pas de ses sentiments, mais elle les regrettait. Elle savait par expérience qu'il fallait se méfier de l'amour plus que de n'importe quel sentiment, mais également qu'elle n'était pas le genre de fille à pouvoir être aimée. Elle était bien trop compliquée et bien trop insupportable pour ça...

Sans le vouloir, un long silence s'était à nouveau installé entre eux. Alice avait baissé les yeux, elle ne savait pas quoi répondre. Elle n'avait pas embrassé Yanny dans l'intention de lui avouer de quelconques sentiments, elle ne savait plus quoi dire. Elle avait simplement voulu profiter de cet instant, et pas commencer à dire au jeune homme des choses qu'elle n'avait jamais dites à personne...

En temps normal, n'importe qui éprouvant un semblant de sentiments pour la personne aimée aurait dû répondre qu'elle se sentait heureuse, et qu'elle l'aimait également. Mais Alice n'était pas n'importe qui. Premièrement, elle n'était pas heureuse. Elle était angoissée par les mots du Serdaigle, bien que ses baisers lui aient redonné le goût de la vie quelques secondes plus tôt. Deuxièmement, elle ne pouvait pas non plus répondre à Yanny qu'elle l'aimait elle aussi. Non pas parce qu'elle ne l'aimait pas, mais parce qu'elle ne disait plus "Je t'aime" à personne, et ce depuis bien longtemps.

Ces anciens petits amis n'y avaient pas eu droit non plus, parce qu'elle en avait toujours été incapable. Et voilà qu'aujourd'hui, c'était à nouveau la même chose. Poussant un soupir, Alice se retira des bras du jeune homme. Elle s'était peut-être un peu trop laissée aller. Elle n'avait pas voulu réveiller de tels sentiments en lui, elle allait le blesser de par son incapacité à avoir des relations sociales normales. Il valait peut-être mieux qu'elle arrête la casse ici, avant que Yanny ne s'attache trop à elle ?

- Je suis désolée... répondit-elle alors. Je ne me suis pas sentie aussi bien depuis très longtemps... Et je tiens beaucoup à toi moi aussi mais...

Elle ne savait pas quoi ajouter de plus. Elle aurait pu facilement terminer sa phrase en lui demandant "Est-ce seulement suffisant" ? Mais elle n'avait pas pu continuer. S'ils avaient une histoire, elle serait incapable de lui dire qu'elle l'aimait, et cela poserait certainement problème pour le jeune homme. Alice regrettait réellement son attitude, mais elle ne pouvait en être autrement. Elle n'était pas habituée aux marques d'affections, aux longs discours et au reste. Le principal sentiment qu'elle avait ressenti ces dernières années avait été la solitude, et elle s'y était tellement habituée qu'elle avait du mal à exprimer aux autres, quels qu'ils soient, ses sentiments éventuels.

Invité

Voila, on dirait que mes mots lui on fait une sensation de peine. Je la connait plus que qui comte dans cette ecole et aussi je connait son histoire avec la mort de sa mere. Quand elle me l’avais raconter, elle ne voulait pas que la raconte a personne d’autre et j’ai garder ma promesse. Je ne pouvais plus la voir souffrir comme sa mais maintenant , on dirais que je vient de faire une gaffe pas pour la blesser mais disons que j’ai sentie un douleur en elle.

-Alice. Tu es la personne qui es la plus importente pour moi dans tout cette ecole. Et meme si tu es incapable de dire Je t’aime, et bien je m’en fiche complettement. Tout se que je veut de toi, c’est que tu me montre que tu m’aime et non que tu es capable de me le dire. Moi je te le dirais mais si tu ne veut pas me le dire, je comprendrais. Je ne veut pas que tu te sente oubliger de me le dire mais tout se que je veut, c’est ton amour et ta presence pres de moi car sent toi Alice, je ne suit plus rien.

Je me retournas et je remontas dans l’arbre et je pris place sur une grosse branche asser solide pour etre capable de pencer a autre chose, mais j’aime tellement Alice que je ne peut plus me passer d’elle. Elle est la fille la plus importente dans ma vie et disons que je ferrais tout pour quelle soit heureuse car je l’aime.

Invité

La situation avec Yanny était compliquée. Alice aimait sa compagnie et l'appréciait beaucoup... Et d'ailleurs... Cela l'avait poussée à l'embrasser. Certes, elle lui avait donné un baiser passionné, et elle avait répondu avec tout autant de passion lorsque le jeune homme avait répondu à sa requête, mais elle devait reconnaître qu'elle avait fait preuve de beaucoup moins d'ardeur lorsque Yanny s'était aventuré à lui demander si elle était heureuse, et à lui avouer qu'il l'aimait.

D'ailleurs, cette révélation avait été un choc pour Alice, qui s'était sentie très mal. Utilisant son don d'empathe, elle avait facilement pu voir qu'il disait vrai, mais voilà : elle avait été incapable de lui répondre quoi que ce soit.

Mais cela n'était pas dû à Yanny, ou un manque d'affection de sa part... Le problème était qu'elle avait été élevée dans un contexte assez particulier qui l'avait habituée à ne jamais s'attacher aux gens. Cette habitude n'était venue qu'à partir d'un seul sentiment : la peur. Oui, Alice avait peur de certaines choses, comme bien des personnes, mais ses peurs étaient différentes de celles des autres. Généralement, les gens avaient peur de certains animaux, ou insectes, ou encore du vide, etc. Mais Alice, elle, avait peur de l'abandon.

Ca pouvait sembler stupide, elle même pouvait le reconnaître, mais elle ne pouvait rien faire contre cela. Elle avait été habituée par être abandonnée, volontairement ou pas, par les personnes qu'elle aimait. Depuis, elle s'était forgée une carapace, en grande partie grâce à sa solitude, et elle avait ne pouvait plus s'en séparer. Avouer ses sentiments, c'était pour elle comme prendre un risque. Le risque de souffrir, de perdre la personne aimée, et Alice ne tenait plus à perdre qui que ce soit, même si pour cela, elle devait s'empêcher d'avouer à tous ceux auxquels elle tenait ses sentiments.

Alice se sentait mal. Elle se sentait mal parce que ce qu'elle faisait pouvait faire souffrir Yanny, mais elle se sentait également stupide, car il aurait été beaucoup plus simple pour elle de lui répondre qu'elle l'aimait également. Tout cela était paradoxal, troublant. Elle avait préféré se séparer des bras du Serdaigle pour ne pas le faire plus souffrir que nécessaire. Elle avait tenté de commencer à lui expliquer quel était le problème, mais elle avait rapidement été incapable d'en dire plus, de choisir des mots pouvant décrire ce qu'elle ressentait.

Elle pensait que le Serdaigle allait partir, après ça. Elle pensait qu'il lui en voudrait de lui avoir fait de faux espoirs en l'embrassant, et bien d'autres choses encore. Mais ce ne fut pas le cas. Yanny lui répondit qu'elle était la personne la plus importante pour lui dans cette école, et qu'il se fichait bien qu'elle soit incapable de lui dire qu'elle l'aimait. Tout ce qu'il attendait d'elle était qu'elle lui montre qu'elle l'aime, et non qu'elle le lui dise. Le Serdaigle ajouta qu'il continuerait à le lui dire, et que si elle resterait toujours incapable d'en faire autant, il comprendrait. Enfin, il ajouta qu'il ne voulait pas qu'elle se sente obligée de le lui dire, et que la seule chose qu'il désirait, c'était son amour et sa présence près de lui car sans elle, il pensait n'être rien.

La jeune fille releva les yeux, sans savoir toujours ce qu'elle allait répondre, mais avant qu'elle dise quoi que ce soit, de toute façon, Yanny s'était retourné, et s'était réinstallé sur une branche dans l'arbre?

Les yeux de la Serpentard le suivirent d'abord, puis après un moment, elle détourna le regard pour le poser sur le sol. Elle ne savait pas si elle pouvait réellement faire ça à Yanny, l'amener à être attaché à elle à ce point, sans pouvoir lui rendre tout ce qu'il lui apportait. Poussant un soupir, la jeune fille ramassa ses affaires laissées au sol.

Elle ne faisait maintenant plus attention à Yanny, ce dernier devait probablement s'imaginer qu'elle allait partir, sans un mot, mais ce n'était pas du tout le cas... En effet, la jeune fille leva à nouveau les yeux vers le Serdaigle, qui semblait maintenant perdu dans ses pensées. Elle ne lui avait toujours pas répondu, et ce n'était pas en étant si éloignés qu'elle allait pouvoir lui répondre.

Alors, elle monta elle aussi à l'arbre et s'installa sur la grosse branche aux côtés de son ami, si elle pouvait encore l'appeler comme ça. Elle regarda le Serdaigle un instant, et s'approcha de lui. Elle passa une main sur le visage de Yanny tout en restant silencieuse. Après un instant, elle déposa un baiser sur sa joue, et répondit :

- Merci...

Elle releva les yeux vers le Serdaigle, et lui adressa un timide sourire. Leurs visages étaient à nouveau aussi proches que tout à l'heure, à l'exception que bien des choses avaient été dites depuis...

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Trso de chose passa dans ma tete et je ne s’avais plus a quoi pencer. J’etait tout deboussoller mais quelque minute plus tard, je sentie une presence pres de moi avec un baisser qui me redonna espoire. C’etait Alice, je la regardas dans les yeux et je ne pouvais pas me dire a quelle point elle etait mon etoile favorite. Elle me remercias et elle me donna un sourire timide comme je les aimes.

-Je te le jure Alice, que si ton bonheur ne te fait pas sentir heureuse et bien je vais tout faire pour que tu le soit car je ne pourrais pas me permette de te voir dans le noir encore une fois. Je te le dit maintenent...je t’aime.

Je pris la main de Alice, et avec mon autre main, je pris son visage et je commenca a effleurer son nez et mes levres flattait les sienne. Je commenca a rire un peut mais elle me rejoignas pour me donner un autre baisser comme je les aimes.

Invité

Et voilà, Alice était maintenant grimpée en haut de l'arbre aux côtés de Yanny, une main posée sur son visage, son regard plongé dans le sien. Elle l'avait remercié, pour les paroles qu'il avait dites, pour sa compréhension. Toujours était-il que la jeune fille avait été assez déboussolée par sa révélation. Elle n'arrivait toujours pas à croire qu'il l'aimait, bien qu'elle le sache, et elle se demandait toujours autant si ça serait réellement suffisant pour le Serdaigle.

Elle ne voulait pas qu'il souffre, elle ne voulait pas être la cause d'une quelconque souffrance pour le jeune homme. Même si elle était perdue, elle savait une seule chose : Elle souhaitait ne faire souffrir personne, et surtout pas Yanny. Et pourtant, elle savait que les sentiments qu'il avait pour elle le feraient souffrir. Elle savait qu'elle devrait se montrer prudente avec lui, sans quoi rien ne se passerait jamais bien.

Mais la prudence n'était pas sa principale qualité. Alice était plutôt du genre méfiante, et spontanée. Elle avait bien souvent du mal à réaliser les conséquences de ses actes. Cette fois-ci, les choses étaient différentes, car elle n'était pas la seule concernée, et que ses actes concernaient également Yanny. Elle avait sorti le jeune homme de ses pensées, en espérant ne pas trop l'avoir blessé. Elle avait ensuite embrassé tendrement sa joue, n'osant pas vraiment en faire plus pour le moment.

Malgré ce que Yanny lui avait dit plus tôt, elle restait légèrement sur ses gardes. Rien n'était encore réellement assuré avec Yanny, malgré leurs sentiments respectifs. Elle regardait le jeune homme avec un regard bienveillant, en espérant ne pas trop le déranger dans ce moment de solitude qu'il était venu rechercher au sommet de cet arbre.

Le Serdaigle lui jura que si son bonheur ne la faisait pas se sentir heureuse, il ferait tout pour qu'elle le soit car il ne pourrait pas se permettre de la voir dans le noir encore une fois. Pour finir tout cela, il lui dit qu'il l'aimait.

Alice adressa un léger sourire au Serdaigle. Elle ne savait encore pas quoi lui répondre. Le bonheur, ce n'était qu'éphémère. A quoi bon le rechercher ? Ne pouvait-elle pas simplement vivre sa vie, aussi sombre et compliquée soit-elle, en profitant ici et là des instants heureux que lui offrait la vie ? Au risque de tout gâcher, elle répondit :

- Je ne crois pas que ça soit nécessaire. Le bonheur n'est qu'éphémère Yanny, il ne dure pas... Et je ne veux pas te faire souffrir.

Elle en avait déjà fait l'expérience. Elle savait que c'était impossible pour elle d'être heureuse, tant que son père serait dans sa vie, et tant qu'elle garderait en mémoire le passé. Le bonheur, elle n'y arriverait que lorsqu'elle aurait fait une crois sur le passé et lorsqu'elle se serait délivrée de toute cette haine qu'elle ressentait chaque jour. La haine, le dégout, le sentiment d'injustice. Tous ces sentiments négatifs la hantaient chaque jour, et personne ne pourrait rien y changer. Ce n'était pas une atmosphère dans laquelle se plaisait la Serpentard, mais elle n'avait pas trouvé le moyen de s'en débarrasser.

Quoi qu'il en soit, la jeune fille sentit la main de Yanny saisir la sienne, tandis qu'avec son autre main, il prit son visage et commença à l'embrasser. Yanny se mit à rire légèrement, ce qui fit sourire la Serpentard, qui reprit bien vite son sérieux et qui donna à Yanny un nouveau baiser passionné. A nouveau, les mains d'Alice se retrouvèrent sur son corps, et elle partagea avec lui un nouveau baiser tout aussi intense que les précédents.

Elle donnait toute son âme et toute sa force dans chacun de ses baisers, y mêlant à la fois ardeur et tendresse dans l'espoir que ces instants partagés avec Yanny lui fassent oublier le reste. Et elle devait l'admettre : ça fonctionnait.

Lorsqu'elle mit fin à leur baiser, la jeune fille plongea à nouveau son regard dans celui de Yanny, dans lequel elle aurait facilement pu se perdre. Mais elle sortit de cette légère transe dans laquelle elle était, et demanda avec plus de sérieux :

- Alors... on peut considérer qu'on est comme... ensemble ?

Elle attendit, avec les mains posées sur le torse de Yanny sa réponse, avant de faire ou dire quoi que ce soit d'autre.

Invité

HJ: ses pas grand chose mais bon, on pourais commencer une nouvelle topic car maintenent nos personnage sorte ensemble.

Nos baisser etait juste tros intense et aussi quand elle mis fin a nos baisser, elle me demenda avec une main sur mon torce si nous etions reellement ensemble. Je lui donna un sourire charmeur et je lui donna un baisser sur son front avec mon nez coller sur son nez.

-Oui Alice. Nous ensemble...pour le reste de notre vie ma belle fleur.

Je recolla mes levres sur les siennes et je lui donna un calin pour lui montrer que j’etait vraiment devenu un homme et que je l’aimais pour l’or du monde.

Invité

Alice était sortie pour s'isoler, rester seule, et oublier ses problèmes et au final, à quoi avait-elle eu droit ? A de la compagnie. Pour ce qui était de la solitude, c'était donc loupé, mais en ce qui concernait la distraction, Yanny avait su lui donner celle qu'il fallait à la jeune fille. En effet, il était venu près d'elle, ils avaient commencé à parler, mais également à approfondir leur relation.

D'abord sur un coup de tête, et pour cacher un malaise, Alice avait embrassé le Serdaigle, et ce sans retenu. Elle avait su lui donner un baiser des plus passionnés qu'elle ait eu l'occasion de donner, et n'en avait rien regretté, si ce n'était l'attachement que ce baiser avait provoqué chez Yanny.

Celui-ci avait en effet révélé à Alice ses sentiments qui, reconnaissons le, avait été très gênée par cette révélation. Le fait était qu'elle ne savait pas quoi répondre, et cette nouvelle l'avait immédiatement refroidie. Elle s'était excusée auprès de Yanny qui semblait avoir compris sa réaction et qui lui avait affirmé que ce n'était rien, et qu'il comprenait son attitude. Alice en avait été des plus touchées, même si elle n'avait rien laissé transparaitre. Cependant, malgré tout ça, le jeune homme était remonté dans l'arbre, laissant seule la jeune fille et ses réflexions plus bas.

Alice avait alors décidé de rejoindre Yanny pour l'embrasser sur la joue et le remercier de ses paroles. Il lui avait alors expliqué qu'il voulait qu'il soit heureuse, mais les choses n'étaient pas si évidentes. C'était ce qu'Alice avait tenté d'expliquer au jeune homme avant qu'il ne l'embrasse, et elle lui avait alors demandé s'ils pouvaient dire qu'ils étaient ensemble.

Yanny adressa un sourire charmeur à Alice, qui manqua bien de faire chavirer le coeur de la jeune fille. Il donna alors à son front un doux baiser, tout en collant leurs nez l'un contre l'autre. Il lui répondit alors que oui, qu'ils étaient ensemble, pour le reste de leur vie, et il la surnomma même sa "belle fleur". Alice sourit à ces mots, même si elle ne les approuvait pas totalement. Yanny était vraiment trop mignon.

Elle sentit à nouveau les lèvres de Yanny sur les siennes, et l'étreinte que lui donna le jeune homme. Elle sourit, posa sa tête sur son épaule, tout en savourant ce moment au maximum. Après un instant, la pluie commença à s'abattre, et Alice se retira des bras de son petit ami.

- Je vais rentrer, déclara-t-elle avant d'embrasser le jeune homme. On se revoit vite ?

Elle lui adressa un sourire et l'embrassa à nouveau avant de descendre de l'arbre, de récupérer son sac et de courir jusqu'au Château.

HJ : Je considère le sujet comme terminé pour moi ^^

Sujet terminé !

» Que de souvenirs...[Rogue]
» Une promenade qui rappel les souvenirs[Pv Bellatrix]
» Un lien avec Yanny de emo boy.<3
» Un post avec Yanny
» Confrontation pour l'amour des gens ( Jake et Yanny)