De retour, disons différente...[pv David]

La journée c’était fait longue. Mon corps c’était fait bousculer en tout sens pendant toute une après midi. La prochaine fois j’avais bien l’intention de prendre un moyen de transport plus confortable que cette calèche pour sur, magnifique mais qui devait avoir fort peu servi à ma grand-mère. Pendant des heures, je ne trouvais rien à faire à part regarder le paysage ou à somnoler mais cela ne durais jamais longtemps, les secousses étant bien trop présentes. Je finis donc par saisir l’étrange journal intime encore vierge que ma grand-mère m’avait offert avant mon départ.


« Il te sera très utile une fois partis de chez moi, ma chérie ! Conserve le bien ! »


Cette phrase me revint en tête une fois le journal ouvert et posé sur mes genoux. Jamais jusqu’à maintenant j’aurais pensé écrire mes pensées, mes tourments et mes joies dans un banal livre sois disant secret. Je trouvais cela puérile et pourtant c’est avec une envie insoutenable que je finis par prendre une plume et à écrire des lignes et des lignes sur ce qui c’était passé. Du moins c’est ce que je croyais, car au fur et à mesure tout s’effaçait, mais par contre tout ce qui me passait par la tête restait figé sur la page blanche ! C’est ainsi que je compris assez rapidement que ce journal était spécial et qu’il fallait le manier avec précautions et d’une autre manière que tout ceux que j’avais pus voir à ce jour. Je rangeais donc ma plume noir avec précautions dans mes affaires et m’allongea un peu plus dans la banquette matelassé noir du carrosse. Je ramenai mes longs cheveux blonds dans mon dos et ferma les yeux. Quelques secondes plus tard, d’une encre noir et fine un texte s’inscrivait sur les pages. Ce texte était tout ce que je pensais et ressentait actuellement. C'est-à-dire la peur au ventre qui ne voulait pas partir de moi depuis mon départ précipité de la demeure de ma grand-mère.


Les heures passèrent donc ainsi, plus rapidement que je ne le pensais. Mais une fatigue commençait à se faire ressentir. Je finis donc par refermer mon journal est à le ranger rapidement dans une de mes valises. Je fis apparaître avec une simple petite incantation un oreiller certes banal mais bien douillet. Je m’installai un peu mieux et finir par plonger dans les bras de Morphée.


Les secousses s’accentuèrent d’un coup. Je me réveillais donc en sursaut, rattrapant une de mes petites valises qui commençait à se faire la malle. Que se passait-il donc ?
J’ouvris avec précaution une des petites fenêtres et passa le bout de mon nez à l’extérieur et reconnut le château. Poudlard ! Enfin ! Mon voyage horrible allait enfin prendre fin.
Je refermai donc la vitre rapidement et ramassais une longue cape en soie, je l’agrafai autour de mon coup, vérifia que mon pendentif en argent en forme de clair de lune était toujours présent contre ma peau, juste au dessus de ma poitrine. Je le serrai fort un instant. Il me donnait du courage car il appartenait à ma grand-mère et travers lui, je la sentais près de moi.


Les secousses s’arrêtèrent enfin, les chevaux venir d’atterrir dans l’enceinte de l’école juste à côté du potager d’Hagrid. J’ouvris une des portes et commençait à sortir du carrosse quand ce dernier se dirigea vers moi pour m’aider. En temps normal, j’aurais refusé son aide, mais ma fatigue était si paissante que je le laissais faire ce qu’il souhaitait. Il me tendit son bras, je m’y accoudais son protester, il m’amenait jusqu’à une petite chaise. Je m’y assois en attendant qu’il sorte toutes mes lourdes valises, qui devaient être au nombre de quatre. Puis il détacha les chevaux et les amena dans un petit parc qu’il avait apparemment confectionné exprès pour l’occasion. Il se tourna à nouveau vers moi avec un sourire niais mais sympathique. Pour la première fois depuis mon premier jour à Poudlard, je ressentis un énorme soulagement en étant à ses côtés. Il prit dans ses grands bras mes lourdes valises et nous allâmes tranquillement jusqu’à l’entré du bâtiment. Il me poussait même à ouvrir la porte. Je manquais vraiment de courage. Heureusement qu’il était là, sinon je crois bien que je n’aurais jamais réussis à pénétrer dans ce hall si immense et bourré à craquer de monde, que je connais pourtant si bien ! Je restais donc la à côté du géant de Poudlard, mes yeux cherchant je ne sais quoi dans tout ce petit monde. J’étais perdu. De plus de nombreux regards se tournèrent vers moi. Certains chargés de mépris. C’étaient ceux des jeunes femmes ici présentes, tandis que ceux des hommes étaient remplis d’attention et une certaine attirance se faisait sentir. Je reculais pour me protéger auprès d’Hagrid. Ce dernier me lança une petite phrase simple mais qui me fit énormément de bien :


" Allons ma grande, ne t’inquiète pas de ca ! Tu es ce que tu es, elles sont tout simplement jalouse et avec le temps elles cesseront ! Allez vient avec moi, je vais amener tes valises jusqu’à ton dortoir ! "


Ces paroles si bienfaisantes étaient accompagnées d’un doux sourire que je n’avais encore jamais vu sur son visage jusqu’à présent. Cela était surement du au fait que je l’ignorais totalement en temps normal. Il fendit la foule. Je le suivis de près pour ne pas le perdre. Et au fur et à mesure que j’avançais, je croisais des Serpentards éberlués surement de me revoir si changé me lançaient des souris, les filles y comprit. Je finis donc par relever la tête et arborer un beau sourire, mes yeux se remplirent à nouveau de courage et je me mis à avancer avec grâce et détermination. Nous allions arriver à la porte qui menait aux cachots quand dans l’ombre je crus reconnaître, l’une des personnes qui m’était le plus cher au monde : David.
Je m’arrêtais donc brusquement. Une lueur d’hésitation sur mon visage si pâle, si fin d’où émanait une beauté incroyable.

[juste pour dire que je ne t'ai pas oublié mon ptit Davidounet chéri XD]

Lorsque nous marchions lentement moi et Hagrid pour remonter jusqu’au hall d’entrée du château nous croisâmes deux trois élèves qui courraient en direction du château, j’avais aperçu une silhouette haute et plutôt bien battit mais rien de plus. Sur le moment j’avais crus voir David, mais il faut croire que j’avais encore une fois rêvé. Car oui il m’arrivait très souvent en ce moment de faire quelques hallucinations comme celle-ci par exemple. Quant à mes nuits elles étaient hantées par le visage de mon bien aimé David.Il était donc pas étonnant qu’en plein jour je crois le voir un peu partout ou je passe. Il me manquait tellement. J’aurais tant voulu pouvoir lui dire au revoir quand j’étais partis, ou même lui envoyer une lettre, mais qu’aurais je bien pu lui dire ? Là était toute la question. Et encore, ce qui me faisait le plus peur était la manière d’on il allait réagir en me voyant, m’en voudrait-il d’être partis ainsi, comme une voleuse ? J’espérais profondément que tel n’allait pas être le cas. Car les explications ne seraient pas forcément au rendez vous…


Mais cette fois ci, je ne rêvais pas. J’en étais sur, mon Amour était là, présent devant moi. Silencieux, son regard posé sur moi. Il ne bougeait plus non plus. Et l’inquiétude montait en moi, mais je n’osais pas rompre le silence qui venait de s’installer entre nous deux.
Hagrid, quant à lui, avait surement dût comprendre car il continua sa route comme si de rien n’était avec un grand sourire aux lèvres.
Je le regardais dans les moindres détails, ca vue m’avait tant manqué. Son visage, son sourire et ses yeux chargés d’une émotion d’on je n’arrivais à comprendre le sens actuellement. Mais malgré cela, une envie irrésistible en moi, voulait que je me jette sur lui mais quelque chose m’en empêchait.. Il semblait hésitant, ne sachant plus trop quoi faire. Je stressais et cela ce voyait fort bien. Je portai ma main gauche à mon pendentif et le serrait fort dans ma paume. Je voulais me donner du courage mais je n’y arrivais pas tellement jusqu’à ce qu’il finisse par dire un mot. Par n’importe quel mot : mon nom, Motoko en murmurant, un sourire aux lèvres.
Cela me rassurait un peu.

" Oui…David… "

Un sourire se dessina enfin sur mon fin visage au teint légèrement mat. Et ne pouvant me retenir plus, je m’avançai vers lui et jetai contre lui. Il m’avait tellement manqué que les larmes me vinrent aux yeux, mais je réussi à les retenir de couler. Mon visage coller contre son torse (musclé XD). Je sentais sa chaleur, son cœur battre contre ma joue. Mes bras étaient autour de sa nuque, je ne pouvais les desserrer, comme si j’avais peur qu’il me rejette. A vrai dire, c’était ma peur première. Je sentais que mon cœur accélérait sa cadence. Il était totalement affolé ce qui démontrait fort bien mon état d’esprit actuel, complètement paniqué devait être le terme approprié.Je finis par relever la tête, les yeux toujours brillants, mes joues légèrement roses, je plantai mon regard troublé dans celui de mon amour et je murmurai d’une voix mélodieuse mais faible :

" Tu m’a tant manqué… "

Je m’abandonnai à lui, jamais je n’avais été aussi sincère qu’avec David, c’était une grande preuve d’amour. Je laissai aller toutes les émotions que j’avais sur le cœur rien qu’en lui échangeant un regard. La détresse devait surement être la plus présente. J’avais besoin d’aide, de soutien et surtout de lui, d’être au près de lui. Pour moi c’était comme mon Ange, il avait réussit à ouvrir mon cœur et à m’accepter tel que j’étais, ce qui pour moi était énorme. Je n’ai jamais aimé une personne autant que lui, j’en étais sur c’est pourquoi la peur de le perdre était omniprésente dans mon esprit.Je voulais m’expliquer, me justifier. Justifier mon absence si longue. Mais je n’avais pas le courage de le faire. Pourtant je savais qu’il faudrait bien que je lui donne des explications un jour ou l’autre. Mais mon plus gros dilemme était que je ne savais pas par quel endroit commencer, c’était si long et compliqué. Je finis donc après plusieurs questions sans réponses posées dans ma tête que je repris la parole pas tellement sur de moi :

" Je ne voulais pas partir ainsi, j’aurais voulus tout te dire, mais même moi je ne savais pas pourquoi je devais partir aussi rapidement, je ne l’ai appris qu’une fois arrivé à destination, sinon tu peux être sur que je t’aurais prévenu…je suis désolé…"

Tout cela ne voulait pas dire grand-chose, mis à part que je ne faisais que m’excuser, ca c’était certain. Mais de là à éclaircir la point d’interrogation que David devait avoir en lui, ca j’en étais bien moins sur car mes quelques mots ne signifiait pas grand-chose. Cela devait plus l’embrumer qu’autre chose mais bon. Au moins, j’avais essayé, c’était le principal, du moins c’est ce que je pensais.Avec un dernier désolé que je venais de murmurer je me levais sur la pointe des pieds car j’étais bien plus petite que David, et l’embrassait avec passion. Mais dans mon esprit, tout ne tournait pas rond, c’est mon corps ne touchait pas plus que cela celui de l’homme que j’aimai, comme si je voulais garder une distance entre lui et moi, comme si j’avais peur qu’il découvre quelque chose qui lui déplaise. Il faut croire que je n’étais vraiment pas dans mon état normal…

Quelques mètre semblait séparer les Adolescents , justes des minuscule pas qui les séparer d'un bonheur qui les aurait ravis tous les deux . Rien n'aurait été plus simple de s'avancer pour la prendre dans ces bras , c'était vraiment aisé mais malheureusement le sorcier n'arrivait plus a faire le moindre mouvement ou plutôt il s'en sentait incapable. Comme si on lui avait un petrificus totalus , seul ces yeux témoignait d'un quelconque signe de vie . La seule explication qu'il trouvait de plausible était que l'émotion - oui , ca lui arrivait d'avoir des sentiments bien que c'était impensable a une époque - l'avait complètement paralysé . C'était dans ces moments qu'on avait l'impression d'être une musique que l'on avait mit en pause même ces battement de cœur semblait s'être arrêter .


Ce fut seulement lorsque le demi-géant gardien des clef de Poudlard ainsi que garde chasse passa a coté de lui que le serpentard reprit ces esprit . D'ailleurs ca l'étonnait toujours qu'il soit au château , un balourd pareil qui avait été viré durant sa jeunesse n'avait rien a faire ici . De plus il était énorme et n'inspirait que de la crainte aux élèves , de plus c'était une erreur de la nature selon David . Mais le pire dans tout ça c'est que cet idiot était devenu professeur dans le châteaux ou on l'avait exclu , c'était le comble de l'ironie . Même si sa matière était des plus inutile , les soin au créature magique qu'elle stupidité les créature magique on n'avait qu'a les laissé dans la nature . A moins que ca ne soit pour se persuader de ne pas avoir raté sa vie en pensant apprendre des chose a de jeune élèves qui avait soif de savoir ou pas .


La personne qui lui faisait face était bel et bien Motoko Aoyama , la jeune femme qu'il aimait . Alors pourquoi avait-il l'impression d'être devant une étrangère . Sur le plan physique c'était vraiment étrange , elle avait disparu a peine un mois pour soudainement réapparaître en étant plus belle . Plus belle ? C'était un euphémisme , a l'époque elle est vraiment ravissante alors que désormais sa bien aimé était plus que magnifique , c'était le seul mot qu'il avait réussit a trouver pour la qualifier a défaut d'avoir un autre terme qui puisse rendre hommage a sa beauté . Ces traits était devenu beaucoup plus fin , on avait même l'impression que son visage était l'image de la perfection sur terre tellement le moindre défaut semblait avoir été banni d'elle . Même ces cheveux semblait avoir changé de couleur , ils avait prit une teinte que l'on ne pouvait en aucun cas homologué dans une nuance typique comme la couleur blonde ou brune . Le sorcier aurait put faire un roman sur les changement si brusque de sa serpentarde préferé . Ce fut au moment même ou elle lui répondit que oui c'était bien elle que David chassa la moindre partiel de doute de son esprit c'était bien Motoko qui se trouvait dans le même couloir désert que lui . Chaque seconde qui passait avec lenteur semblait être un moment de bonheur , un sourire béat avait même envahit les lèves de l'adolescent qui pouvait s'expliquer par la présence de la personne qu'il avait crut ne jamais revoir et qui hantait ces nuits .


Pour son plus grand bonheur la femme qu'il aimait plus que la vie elle même s'approcha de lui , un geste qu'il avait été incapable de faire . Juste la voir de plus près pouvoir la contemplé plus en détail , sentir l'odeur qui se dégageait d'elle et enfin pouvoir la touché avait suffi a emballé le cœur du jeune homme qui était irrévocablement amoureux de cet personne si parfaite a ces yeux : son âme sœur selon lui . Un amour si fort malgré le peu de temps qu'il la connaissait ne devait pas être commun , on aurait put croire que c'était un amour de jeunesse qui finirai sans doute mal . Néanmoins cet hypothèse n'avait jamais germé dans la tête du jeune sorcier qui savourait l'instant présent en étant persuader que tout irai pour le mieux avec Motoko . Son sixième sens lui disait que cet fois se serait différent de ces anciennes histoire de cœur qui avait souvent mal finit pour la simple raison qu'il sortait par moment avec une personne sans avoir le moindre sentiment envers elle . Alors éprouver des sentiments et avoir besoin de voir son soleil comme il se plaisait a la personnifié lui faisait ressentir un étrange sentiment grisant d'être tombé sur la bonne personne .


Son rythme cardiaque montait encore sans relâche , a croire qu'il n"avait pas limite . Au moment même ou le visage de sa raison de vivre se posa contre son torse le jeune sentit son cœur ralentir progressivement même si le moindre battement semblait résonné dans tous son corps . Sa présence en elle même apaisait ces craintes et ces doutes en le calmant tout en le rendant joyeux au point se sentir bouillonné . Tout se chamboulé en lui , ces sentiments était en pleine lutte pour prendre le pouvoir sur son corps mais les grands gagnant ont été le calme , la quiétude et la joie de pouvoir la tenir dans ces br as , le trio gagnant du moment . David avait posé une de ces mains au niveau des cheveux de Motoko en la faisant descendre avec lenteur tout en effleurant sa tête , son coup et enfin son dos , sa main vint se posé au milieu de son dos . Soudainement la jeune femme tant adoré du serpent releva la tête pour lui dire qu'il lui avait manquer . Ces mots il aurait put les dire mais rien ne semblait sortir de sa gorge . Comme si chaque phrase mourrait avant d'ouvrir la bouche , a son tour il lui avait répondu .


Tu m'a énormément manqué aussi ...


Quelqu'un venait de parlé avec la même voix que lui , a non c'était bien lui qui avait expriment ces sentiment avec des mots qui devait agréable a entendre avec une voix presque plaintif qui regrettait cet séparation tout en affichant un visage attristé et souriant . Que de sentiment contradictoire il avait en lui cependant il semblait s'être un minimum accommodé ce qui l'étonnait davantage c'était de s'être mit a nue en lui affirmant ce que son cœur pensait . Un nouveau message , oui pour David cet preuve de sincérité signifiait que son cœur de glace c'était définitivement dégelé la couche de glace qui le rendait inexpressif par chois personnel de peur de souffrir venait d'éclater a tout jamais .. Il avait été réchauffé par l'amour d'une ardente passion entre les deux adolescents , ou plutôt par les sentiments si profond qu'il en devenait dangereux du serpentard .Si terrifiant qu'il aurait fait faire n'importe quoi au jeune si la femme qu'il l'aimait lui aurait ordonné . Il aurait même trouvé un moyen de se soustraire des douleurs de la chair quitte a pactisé avec le diable pour dompté la mort afin de rester l'éternité avec sa bien aimée .


David était vraiment de bonne humeur au point de s'imaginer a faire des projet faramineux , malheureusement dans la tête de ce sorcier l'inquiétude avait fait son grand retour et en force ainsi qu'une multitude question . Pourquoi était-elle partit sans dire le moindre mot ? Sans moindre indication qui pourrait indiqué le lieu ou elle se rendait ou encore le temps de son absence . De cet manière il aurait put transplané pour lui rendre une visite afin de calmé ces doutes . Pour son plus grand malheur personne n'avait pas put le renseigné et aucune lettre ne lui était parvenu . Pour un peu il aurait tuer les hiboux des autres personnes car eux recevait des nouvelles . Inutile de le précisé que le sorcier était légèrement énervé de cet absence ou elle avait disparu sans laissé de trace Patiemment le jeune homme avait reprit son calme habituel et attendait une quelconque explication ...


Chose qui arriva , comme quoi il fallait mieux attendre au lieu de tiré des conclusion diligemment . Enfin quoique ... Son explication était vraiment nébuleuse on point qu'il la fixait avec un air surprit tout en scrutant ces pensées sans même y faire attention s'en était presque devenu un automatisme . Étrangement elle disait vrai même s'il semblait étrange qu'elle sois partit sans savoir ou elle allait . Tout en ajoutant être désolé , il ne pouvait que la croire vu qu'il savait la vérité par l'intermédiaire de son esprit . A son tour il lui répondit avec un léger sourire .


Je te crois ... mais pourquoi est-tu parti si vite et ou est-tu partit ?


Un peu après lui avoir parler , sa Motoko adorée c'était mit sur la pointe des pieds afin de l'embrasse tout en laissant une petite distance entre eux . Quelques centimètre que le jeune homme franchit en se collant un peu plus a elle , enfin il avait retrouvé l'usage de ces membres et se mouvait comme d'ordinaire . Juste après avoir échanger un nouveau baiser plein de tendresse , le sorcier recula légèrement se plongeant dans son regard et lui murmura avec sourire a peine dissimulé .


Je pensais que tu reviendrais pas , et je suis content de m'être tromper .

J’avais finis par franchir le premier pas, si on peut dire cela ainsi. J’étais contre mon bien aimé. Je pouvais entendre à présent les battements de son cœur ralentir doucement, comme si le fait que je sois en contact avec lui l’apaisait. A vrai dire, le mien avait bien du mal à se tranquilliser. Les premiers instants ou j’ai croisé son regard dans le hall, j’ai bien crus que mon cœur allait exploser, puis une fois seule avec lui mais avec une distance raisonnable, j’avais l’impression d’étouffé. J’étais bien trop loin de mon oxygène à mon gout. Mais à présent que nous étions réunis je n’arrivais pas à affirmer dans quelle position il s’était installer. Il avait l’air de se calmer petit à petit. Du moins, jusqu’à l’instant ou l’ange contre qui j’étais entreprit de poser délicatement ses mains au creux de mon dos. Un frisson parcourut ma peau à son contact. Ces effleurements d’on il était le seul à avoir put un jour effectués, m’avaient tellement manqué…

Enfin, tout en lui était source de bonheur pour moi, et cet homme, David, l’élu de mon Cœur avait peut être bien faillit disparaître de ma vie. J’ai tout simplement de la chance qu’il tienne t’en à moi. Il était comme une perle rare pour moi. A présent je ne m’imaginais pas vivre sans lui. Mon absence loin de lui en est bien la preuve. Je n’avais cessé de penser à lui, de voir son image dans mon esprit. Une peur avait été omniprésente en moi, la crainte de le perdre. Je n’arrivais toujours pas à me persuader qu’il m’avait choisi, moi. J’étais pourtant une simple élève de sixième année. J’avais toujours du mal à le comprendre, mais pour rien au monde je ne le regrettais, bien au contraire. C’est pourquoi après quelques secondes de silence j’avais finis par lui dire à voix basse qu’il m’avait manqué. Ca c’était bien le cas, et encore manquer était un mot bien trop faible pour démontrer l’étendue de ce que je ressentais. Il me répondit, comme après un instant d’hésitation, la même réplique ou presque que moi. C’était la première fois qu’il osait me le déclarer.

Son visage si familier pour moi était à cet instant même, bien différent des autres jours. Il avait des traits fins exprimant une tristesse loin d’être dissimulé. Mais ce qui était le plus étrange était que malgré cette tristesse présente, on pouvait découvrir un beau sourire s’afficher sur son visage. Ces deux expressions étaient totalement opposées et pourtant elles étaient bien réelles, ancrées dans son visage pâle. J’en déduis qu’il devait être dans un état qui ne lui était pas encore arrivé ou quelque chose de ce genre là.
A vrai dire, je savais bien que mon attitude n’était pas très habituelle non plus. Jamais je n’avais été aussi joyeuse, ce qui se remarquait par un sourire qui illuminait mon visage, mais j’étais également fort nerveuse et mes traits étaient tirés par ce mal psychologique. Je n’avais jamais ressentie autant de sentiments aussi contradictoires et je ne savais pas vraiment comment les gérés. Rien que le fait de savoir que l’on tenait à moi et que l’on m’aimait était difficile à gérer pour moi. Cela faisait bien trop de nouveautés. J’étais un peu paniqué, j’espérais que ca n’allait pas trop se voir. Malheureusement pour moi David était un homme intelligent et perspicace.

L’angoisse état bien trop présente. Des petits tremblements venaient de remonter à la surface à l’instant même ou j’avais remarqué un trouble visible sur le visage de mon bien aimé. De la colère. Oui il était énervé et même si cette modification était que très minime elle était nettement perceptible. Mais le pire dans tout cela, c’est que je savais pourquoi il était ainsi. C’était mon absence. Je ne l’avais pas prévenu ni donné de nouvelles. Il était donc normal qu’il réagisse ainsi. Mais comment pouvais-je-lui expliquer que j’étais allé tout simplement chez ma grand-mère pour effectuer une transformation ? C’était une chose à laquelle il aurait moins d’un pour cent de chance qu’il me croie. Mais ce que je souhaitais par-dessus tout, c’était vivre à ces côtés, heureuse et si possible pour toujours. Donc quitte à choisir entre passer pour une jeune femme racontant des histoires totalement inimaginable et perdre celui que je j’aime, j’optai pour la première option. Mais je me laissai quelques minutes de répit, le temps de me préparer à des répliques cinglantes me faisant comprendre que je mentais, alors que ce ne serait que la stricte vérité. C’était une simple question d’habitude qui faudrait que je prenne avec le temps.

Ma brève réponse était loin de le satisfaire et je le comprenais. A sa place, j’aurais surement réagit de la même manière. Il me fixait avec un air surpris et insistant. C’était inquiétant. Si il aurait pu lire dans mes pensées, j’étais sur qu’il l’aurait fait. Je fronçai légèrement les sourcils, surprise par cette manière de m’observer. Fort heureusement cela ne dura qu’un très court instant. J’étais soulagé. J’avais l’impression d’avoir subit comme un examen, c’était vraiment une drôle d’impression. Mais l’essentiel c’est qu’il s’était calmé et qu’il avait l’air de me croire. Je m’apaisai petit à petit. Mais à présent il me demandait de plus amples explications. Logique. Pourquoi j’étais parti aussi vite ? Ou j’étais parti ? Les points principaux que je ne savais pas vraiment comment expliquer.
Un léger sourire s’échappa de mes lèvres. Je crois qu’était venu l’heure des déclarations. Je n’allais pas continuer à éviter cette conversation pendant une éternité. Devant l’air insistante presque suppliant de mon Davidounet (^^), je ne pus résister.
Je pris donc mon courage à deux mains et plongea mon regard dans celui de mon amour. J’espérais qu’ainsi il me ferait confiance. Je débuta donc d’une voix pas tellement sur de moi :

" Je crois que pour pouvoir répondre à ces deux questions, il vaudrait mieux que je reprenne tout depuis le début. Or c’est un peu long et surtout qu’il faut tu me fasses confiance, ce n’est pas le genre d’histoire que l’on entend tout les jours… "

Après une courte pause, toujours en fixant du regard mon bien aimé je repris avec un peu plus d’assurance.

" Tout d’abord, depuis toute petite, j’ai toujours été très proches de ma grand-mère. Elle possédait un immense domaine. J’y passai la majorité de mon temps. Elle a toujours été une belle femme, même maintenant malgré son âge. Je n’avais cherché à comprendre comment elle faisait pour être aussi parfaite, car pour moi c’était la meilleur sorcière que je connaissais, donc il était tout à fait logique qu’elle soit également la plus belle. "

Un petit sourire attendrissant se dessinait sur mes lèvres au fur et à mesure de mon récit, remontant mes joues, créant de toutes petites fossettes me donnant un air un peu plus enfantin que je ne l’étais depuis quelques semaines.

" Un jour je devins obsédé par une belle photographie. Il n’y avait que des femmes dessus, toutes aussi magnifique les unes que les autres. Ma grand-mère en faisait partie, ma mère également. Je me mis à me poser des questions et un jour ma grand-mère y répondit enfin ! Toutes les femmes présentes sur cette photo faisaient toutes parties de la famille. Elles détiennent un secret qui fait que notre famille est différente de toutes les autres, un lien spécial qui se perpétue de génération en génération. Mais je ne savais pas que j’allai en faire partie. Car sur la photographie il y avait de toutes petites filles à peine âgées de quelques années mais je n’y figurais pas alors que j’étais déjà née. Comme quoi, il ne faut jamais désespéré… "

Je m’attendais à une quelconque réaction de mon bien aime, mais elle ne vint pas. Je continuais alors après un instant d’hésitation.

" C’est pourquoi un soir j’ai été convoqué chez notre directeur, il m’a fait comprendre de préparer mes baguages que j’allais passer un séjour chez ma grand-mère, il fallait que je fasse cela rapidement tout en restant discrète. Je m’exécutai donc sans poser de questions. Je partis le jour même. Je ne savais pas pourquoi je devais agir. Les premiers jours passés chez ma grand-mère étaient tout à fait normaux mais je finis par vite comprendre que c’était pour ce « don » étrange qu’elle m’avait convoqué. Une fois que cela fut terminé je fus renvoyé à Poudlard. "

Je lui avais fait comprendre pourquoi j’étais partis, après pourquoi je n’avais pas donné de nouvelles étaient tellement évidente pour moi que je n’avais même pas pensé à les lui expliquer. Je n’avais pas expliqué en quoi consistait également ce « don ». Je me voyais mal tout lui dire d’une traite, quoi que ? Après tout, j’en serais débarrassé.
C’est pourquoi qu’un silence oppressant ce soit installé je finis par rouvrir la bouche et d’une voix calme et forte je finis par déclarer :

" Si tu n’a toujours pas compris ce qu’est ce « don », ou ce « lien familial si spécial », je vais te dire que c’est loin d’être une chose bien courante. Je suis tout simplement une Vélane… "

C’était peut être sec, mais c’était tout simplement la vérité. Après c’était à lui de choisir, il avait les cartes en main, j’avais fait le maximum. Mais il n’avait pas l’air de le prendre mal puisque quelques instants après il m’avait ré-embarrassé avec tendresse. Son corps contre le mien. Nous ne faisions qu’un. Je n’aurais rompu cet instant pour rien au monde. Mais toute bonne chose à toujours une fin. Mon amour s’était reculé pour me dire de sa belle voix envoutante qu’il était heureux à propos de mon sujet car apparemment il pensait que je ne reviendrai jamais. Chose que je n’aurais jamais pus faire. Cette fois ci j’en étais doublement persuadé. Je lui répondis donc avec un sourire sincère.

" Jamais je ne t’aurais abandonné…Je ne pourrais jamais te quitter ! "

Je compris à cet instant que je ne pouvais me passer de lui, il était tout simplement ma vie, mon oxygène…

Et bien toute les bonnes chose ont une fin ^^ Un peu court mais terminé ^^
Enfin quoique une suite est toujours possible a voir XD mais pour le moment :