petites annonces [Bella]

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Cela faisait plusieurs semaines que j’étais arrivé à Poudlard mais je n’avais pas rencontré pour autant énormément de Serpentard. Voir des rouges et or à dans les coins des couloirs de l’Ecole me donnait des nausées. C’est pourquoi après avoir tourné encore une fois en rond dans tout Poudlard sans trouver de collègues vert et argent, je partis donc prendre l’air à Pré au Lard. Mes parents avaient bien reçu ma petite lettre et m’avais envoyé l’autorisation de sortie ainsi que de l’argent comme promit. Une certaine somme autant l’avouer ainsi qu’un petit recommandé étant écrit avec une fine écriture en italique. Les dimensions d’un rideau de lits à baldaquins y étaient mentionnées car, les années précédentes j’avais pu constater que mon lit était dans un piteu état. Je m’en étais révolté auprès de l’administration de Poudlard, sans effets. C’est pourquoi j’avais bien l’intention de changer cela moi-même. Je n’avais pas très envie de me mettre à coudre pendant des heures, la couture n’étant pas mon point fort, il me fallait trouver quelqu’un est rapidement pour le faire à ma place. C’est bien plus simple. C’est pourquoi j’étais à pré au lard pour poster des petites annonces un peu partout dans les boutiques et bar du coin. Tout en pensant à comment j’allais bien pouvoir me présenter auprès des commerçants, j’avais bien avancé sous un ciel grisâtre. Heureusement que ma belle écharpes aux couleurs de Salazar Serpentard protégeait mon cou si pale et si fragile.
J’entra dans un bar au hasard s’en tellement regarder l’enseigne. Mais ce qui était sur, c’était un bar bien trop chaleureux et bien trop remplis d’élèves de Poudlard rouge et or pour que je m’y sente à l’aise.

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Quelle était cette étrange impression que Bella avait depuis la rentrée scolaire ? … Un sentiment d’inutilité, et de délaissement. En effet, nombre de ses anciens amis n’avaient pas remué ciel et terre pour la trouver. Bon, il était certain qu’ils devaient se trouver pour la plupart, en cours avec elle, mais ils n’avaient pas dû avoir trouvé assez de courage pour venir lui parler… Oui, ça devait être ça. La solitude, après tout, elle s’y était habituée, depuis longtemps, et ses séjours prolongés dans la chambre fermée de la maison familiale, durant un bon été, avait sans doute accentuer ce côté-là. C’était presque incroyable pour elle, elle en venait presque à regretter sa ville, ses parents… Heureusement pour elle, son chat lui remontait toujours le moral, le simple fait d’effleurer du bout des doigts son pelage lisse et soyeux, lui procurait une certaine euphorie.

En se rendant à Pré au lard, aujourd’hui, Bella espérait se distraire. Bon, effectivement les cours au collège et les rares moments de franche camaraderie la lassaient pour un peu, et elle aimait le dépaysement complet. Pré au lard était charmant. De petites maisons de bois, au toit recouvert d’une neige épaisse et éternelle, encadraient les rues. En se faufilant dans les sombres et étroites ruelles, la jeune fille ressentait un malaise certain, oh, sûrement dû à sa claustrophobie naturelle. Elle détestait se sentir enfermée, et n’aimait pas justement, passer par les petits coins lugubres, et où personne ne va. Quelle trouillarde, vous me direz ? Oui, peut-être un peu… Mais elle avait apprit, et à raison cette fois-ci, que dans le monde magique des sorciers, tout pouvait arriver, même l’impossible, et le plus dangereux.

C’est alors qu’elle aperçut, parmi une foule de jeunes sorciers, tenant pour la plupart, une sucette qu’ils avaient probablement acheté au magasin d’en face, une jeune fille, blonde. Celle-ci portait sur son manteau, l’écusson fidèle aux Serpentard, ce qui dévoila sa maison, et par la même occasion, son caractère certain. Bella ne portait pas particulièrement les Serpentard dans son cœur, mais étant obligée de cohabiter avec eux, s’y était un peu fait. Elle s’avança d’un pas timide, affichant sur son visage, un air de dédain et de mépris...

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Une fois entré dans le bar, je levai les yeux vers les murs et remarqua l’inscription au mur : Bienvenue au trois balais. Ce n’était pas tellement le bar que je préférais, bien loin de là mais bon. Je me dirigeai vers le comptoir et commençai à expliquer mon petit dilemme fort grave pour mon lit baldaquin. Après avoir terminé mon petit baratin et après avoir placardé ma petite annonce sur le panneau d’affichage j’allai m’installer au fond du bar dans un coin à part. Je commanda également une bonne biereaubeurre(je sais plus comment ca s’écrit T__T )

Ma fine tête était appuyée contre la vitre, ma main droite la soutenant tout en étant appuyé sur la table en bois. Je baladais manichalement les doigts de ma main gauche le long des gravures encrées à jamais dans le vieux bois qui constituait la table. Mon regard était vide. J’étais perdu dans des pensées toutes aussi absurdes qu’étranges.

Etant dans un état proche du sommeil, je ne remarquai pas une élève de Poupsouffles qui s’était trouvé non loin de moi lors de mon entré dans le bar. Je ne la voyais donc pas également à travers la vitre obscuré par une épaisse buée, témoin de la différence de température entre cette salle bondée et l’air frais du dehors.

(désolé c’est pas bien glorieux, mais je suis pas très en forme ^^ ,jvais aller me coucher d’ailleurs là , pour te dire ^^)

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[ Tu m'excuseras , pardoooon , j'étais un peu débordée, en plus de problèmes d'ordi.. T__T je suis impardoooonable.. * va se pendre* Pardooon, vraiment. Et pardon aussi, c'est pas terrible mais je suis un peu encore patraque, hier j'étais malade à mon tour.. T_T Excuse moi, pour tout. ^-^ J'espère que tu veux bien toujours continuer notre sujet. ]
___

Bella vit entrer la jeune fille aux trois balais. Désirant absolument, mais sans savoir pourquoi, elle se mit en tête de la poursuivre. Elle accourut et pénétra à son tour dans le bar. Elle poussa la porte, dont la sorte de petite lucarne était maculé de traces de doigts, avant d'y entrer. Elle chercha du regard celle qu'elle avait "prise en chasse". En fait, l'ennui était devenu si fort qu'elle ne savait plus que faire, et avait ainsi décidé à tout prix de la rencontrer. De plus, elle avait cette pénible impression de l'avoir déjà entrevue quelque part, sûrement à Poudlard, mais n'arrivait pas à mettre avec certitude un nom sur son visage. Elle la remarqua, assise non loin de là, mais à l'écart de tous.

Bella s'approcha de la jeune fille, dont le blason vert en ornait ostensiblement a poitrine. Le reflet argenté de l'écusson de sa maison attira toute son attention. Mais très vite, elle se focalisa d'avantage sur celle qui la portait. Son regard glissa inconsciemment sur elle, un regard malgré elle emplit d'un certain dédain. La serpentarde était accoudée à une table, contre une vitre. Perdue dans ses pensées, elle ne semblait pas avoir remarqué sa présence, et restait imperturbablement figée. Bella posa sa main contre son épaule, avant de lui dégainer :

" Hey, Motoko, c'est bien toi ? "

D'un oeil sceptique, elle la secoua amicalement, pour lui faire remarquer sa présence. Lorsque la jeune Serpentarde se redressa, Bella la reconnut alors instantanément. Oui, il s'agissait bien là de Motoko Aoyama, une élève qu'elle ne trouvait ni gentille, ni antipathique.

Certes, Bella ne se sentait pas forcément proche de sa maison, mais elle avait apprit cependant depuis cette année, à attendre de se forger sa propre opinion plutôt que de chercher à suivre celles des autres. De plus, Motoko ne paraissa absolument pas nuisible, comme Bella surnommait ceux qu'elle appelait également les "toxiques". Surtout en ce moment, elle paraissait lasse, éreintée et au bord du sommeil profond.

" Hmm.. , s'écria-t-elle en s'adoucissant, tu vas bien ? Tu m'as l'air endormie... "

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[C’est pas un souci, ne t’inquiète pas ! Mais dis je peux faire, comme si j’étais vélane dans ce topic ? Ca m’aiderais un peu plus, enfin si sa te dérange pas bien sur !]

Les minutes s’écoulaient et je m’enfonçai d’avantage dans mes pensées. Depuis plusieurs semaines s’étaient écoulés et j’étais toujours aussi éreinté. Je savais que c’était normal, une transformation de cette envergure ne se faisait pas aussi facilement et sans conséquences. Cela allait bien finir par passer après tout. Je soupirai amèrement, une envie de dormir s’étant installé en moi. Quand soudainement, une main se posa sur mon épaule, me secouant légèrement. Je sursautai, comme bien souvent. Puis je reconnus la voix de la personne qui venait de s’adresser à moi. C’était Bella. Bella E.Steward, une étudiante de Poupsouffle qui pourtant n’avait pas tellement le caractère pour aller dans cette maison. De nombreuses personnes se demandaient d’ailleurs pourquoi elle y était. Même moi, je me posais quelques fois la question. Mais bon si le choipeau magique en avait décidé ainsi, c’est que cela était le bon choix. A ca question, je répondis d’une simple phrase :

" Oui, c’est bien moi… "

Je me levai et fixais mon regard dans le siens, essayant de savoir ce qu’elle me voulait. Je ne savais pas tellement qui croire et à qui faire confiance en ce moment. Je n’avais pas revus énormément de monde depuis mon départ. Parler était une chose qui n’était plus tellement essentiel pour moi. Rien que en regardant les visages des personnes faces à moi j’arrivais généralement à comprendre les émotions qui les envahissaient et comme à l’école s’était toujours de l’admiration ou du dégout suivant le sexe des élèves, il m’était facile de comprendre leur pensées. Il n’était vraiment pas facile d’être une vélane tout les jours. Mais bon, j’allais bien vite comprendre que cela allait être un de mes atouts les plus féroces.
Vint une nouvelle question. Décidément, elle s’inquiétait tant que ca pour moi ? Etrange. Je froncai les sourcils tout en lui répondant d’une voix grave et mélodieuse :

" Oui, oui tout vas bien… "

Réponse qui n’aide pas tellement, mais à vrai dire je n’avais pas tellement l’intention de dévoiler tout mes problèmes et mes peurs à une personne que je ne connaissais quasiment pas. Cela va de sois !
Curieuse d’en savoir un peu plus, toujours en la fixant, je lui posais à mon tour les mêmes questions ou presque qu’elle venait de me poser :

" Toi, tu es bien Bella E.Steward si je ne me trompe pas ! Mais que fais-tu ici ? Du moins, que me veux-tu ? "

Ma voix était quelque peu agressive, mais j’avais mes raisons d’être de mauvais poil et je n’avais pas à me justifier, donc si ca ne lui plaisait pas, et bien tans pis…

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A l’entente de la réponse de Motoko, Bella se raidit. Un tintement d’agacement et de supériorité peut-être pas volontaire, sonnait au fond de sa voix. En tout cas, ce qui était vraiment certain était qu’elle ne devait pas se trouver de très bonne humeur aujourd’hui. « Arf, une petite cape d’invisibilité qui passerait dans le coin, ne serait pas de refus làààà… » Elle dût sentir que Bella fut légèrement offusquée, puisqu’elle décida de se radoucir, un peu. Quand on dit, un peu, c’est un peu, c’est ni beaucoup, ni pas du tout, ni passionnément ni… *ZBAFF*

A vrai dire, la poufsouffle ne s’attendait strictement pas à un tel refus de discussion. D’habitude avec elle, Moto avait la langue plutôt bien pendue. Mais peut-être que son Jimini, elle l’avait avalé de travers. Oui, ces temps-ci, la Serpentarde avait opté pour une promotion dans les relations de la belette. Elle était devenue tellement puissante aux yeux de Bella qu’elle pouvait contrôler tout d’elle. Et elle, crédule, naïve et surtout, à plat ventre devant tant de puissance et de beauté, ne pouvait que s’abaisser. Elle attendait toujours son jus de citrouille… Mais euuuh, comme ils mettent du temps avant de te servir… lorsqu’enfin il arriva sur ses petites pattes s’allonger devant elle, non, rectification du scénario, lorsqu’enfin on vint lui apporter sur un plateau, elle l’avala d’une traite. « Ahhhhhh, ça rafraichit quand il fait chaud dis donc… » Mazo, complètement mazo, les nuages étaient au rendez-vous et la brume encerclait pré-au-lard, et appart ça, elle trouvait encore qu’il faisait chaud… Les jeunes…

Bellaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, mais regarde donc où tu mets les pieds petite délinquante juvénile !!!!!!! Oh wouuuuups, en deux temps trois mouvements, Bella avait saccagé par inadvertance (bien sûuuuuur), les pots de fleurs du parterre. D’ailleurs, que faisaient-ils au sol ces pots de fleurs ? Comme si on.. on ne pouvait pas dégager la route non ? Arf, trop tard, elle se faisait déjà enguirlander par le patron des trois balais. Là, elle put constater que le bar portait bien son nom et son insigne. Déjà, des balais furent mirent à l’épreuve, et hop, plus de terre souillée sur le plancher, plus de pot de fleur cassé. Bref, comme par magie. :gnu Elle se retourna vers son Jimini, et s’excusa ouvertement.

« Pardooon alors Motoko, tu me disais ? Oui, tu vas bien, ah, c’est bien ça, mais je pensais le contraire vu ta tête… T_T »

Puis, Jimini reprit, d’un ton plutôt désagréable, mais que Bella admira tout au plus. Elle avait au moins la franchise de ne pas jouer à mumuse « hypocrite » avec ses camarades. Elle annonçait directement la couleur. Mais belette se demandait toujours ce qui pouvait bien la mettre dans cet état-là. Une rupture ? Un problème d’ordre privé ? Ou… une maladie ? Un… Oulàà, si elle commençait à partie sur ces délires-là, mieux valait s’arrêter ici, autrement, la pleine lune arriverait qu’elle n’aurait toujours pas terminé. Elle se questionna tout de même un peu. Elle chercha à en savoir plus, de manière à la soulager, mais… Etant donné la manière dont la Serpentarde lui avait adressé la parole, elle restait réticente. PIAAAAA ! Elle ne devait vraiment pas être dans son assiette la pauvre. Bella eut de la peine pour elle, mais n’insista pas.

« Oui, oui, c’est bien moi également. Je t’offre un jus de citrouille ???? »

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Bella paraissait choqué en entendant ce que je venais de dire. Je réfléchis un instant. Il était vrai que je n’étais pas bien stone en ce moment. Je n’y pouvais rien, du moins c’est ce que je me disais, histoire de me convaincre que c’était le cas, bien que je sache que cela ne tenais qu’à moi. Peut être fallait-il que je me détende un peu. Oui, mais je ne sais pas tellement comment. Je redirigeai mon regard clair et froid sur Bella, comment avais je pus l’oublier ?
Il était vraiment temps que je revienne à la réalité. Cela faisait peur à voir. J’ai été absente trois semaines, je reviens totalement isolé de tout le monde, dans mon petit univers à me plaindre sur moi-même en permanence, j’en oublie même les personnes qui m’étaient proche. D’on Bella. Noter relation a toujours été spéciale. J’avais l’impression qu’elle avait envers moi comme une sorte d’admiration sans bornes. Quant à moi, je l’appréciais bien, ce qui était fort étonnant étant donné qu’elle était de Poupsouffle, mais je la trouvais différente des autres. De plus, j’avais bien compris que si elle aurait été dans une autre maison, cela ne l’aurait point déranger. Donc pour moi, elle n’était pas une Poupsouffle que moi. C’était peut être pour cela que entre nous deux le contact est tout de suite ou presque passé. Du moins je voyais cette situation ainsi.

C’est pourquoi, tout en la regardant siroter son jus de citrouille qui apparemment avait mit un certain moment à venir, je lui lançais un petit sourire, mais quand je dis petit, ce n’était vraiment pas grand-chose, mais c’était un signe comme quoi je faisais des efforts, puis je lui dis d’une voix surement moins agressive :

" Excuse moi, mais je n’ai pas trop la forme en ce moment… "

Ce n’était pas grand-chose et j’en étais consciente mais c’était déjà un bon début après tout.
Et puis la voir, Bella, cette petite bouille avec un grand sourire et toujours les bons mots ou presque remontait facilement le moral. C’est d’ailleurs à cet instant que la brunette déclara tout naturellement que son jus de citrouille lui faisait énormément surtout quand il faisait chaud. Je montai les yeux au ciel. Une chose était sur, elle n’avait pas changé ! Quand il faisait chaud…Alalalala, n’importe quoi ! Je retournais mon regard vers la vitre du bar des trois balais, il faisait plus que brouillaissou dehors.

" Eu…Bella, tout vas bien ? Tu trouves qu’il fait si chaud que ca ? "

Demandais-je plus amusé que intrigué, je savais bien quelle partait rapidement dans quelques délires complètement incompréhensible quelques fois. Mais la réponse risquait fort bien de tarder car cette petite rigolote venait d’exploser des pots de fleurs, qui je me demandai d’ailleurs ce qui faisait ici, m’enfin…
Elle attira tous les regards sur elle, ce qui n’avait pas tellement l’air de la déranger plus que ca. Fort heureusement, nous étions dans un bar de sorciers, la terre, les fleurs et tout ce qui allait avec eurent vite fait d’être nettoyer en un clin d’œil avec une grande action rapide de deux ou trois balais. Effectivement ce bar portait bien son nom, bien que ce genre d’accident ne doive pas arriver tout les jours.
Mais ce qui me fit sourire fut que Bella s’empressa de s’excuser, mais au lieu de le faire au gérant du bar, elle se tourna vers moi pour le faire. Je remarquai également quelle était toujours planté debout en face de moi. Je lui désignai de la main, une place en face de là ou j’étais.

" Pour commencer, installe toi, et tu n’as pas à t’excuser tu sais ! Et puis c’est bien trop compliquer à expliquer pourquoi je suis ainsi, même moi j’ai du mal à comprendre… "

J’abaissai la tête presque tristement, en repensant à tout cela. Mais je repris rapidement du poil de la bête, faisant comprendre par ici que je ne souhaitais pas m’étaler sur le sujet.
D’ailleurs Bella, eut la bonne idée de ne pas insister bien que je voyais son air pensif. Elle devait s’imaginer je sais combien de scénario tout aussi extravagants les uns que les autres.
Quelques secondes plus tard, elle me proposait un jus de citrouille. Après tout pourquoi pas, je venais tout juste de finir une bierreaubeurre, mais après tout si je devais passer du temps dans ce bar autant en profité.

" Pour le jus de citrouille, pourquoi pas !? "

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