Let the flame begin [PV : Veronica]

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J'avais enfin découvert ce qu'était le sentiment que j'éprouvais pour Nicolas. Jake ne m'en avait jamais parlé. Ça me rendait furieuse. J'étais furieuse qu'il ne m'est jamais apprit à aimer quelqu'un avant aujourd'hui. Alors, qu'éprouvais-je pour ma famille si ce n'était pas de l'amour? Je... le doute s'était emparé de moi. Qu'étais-je sinon qu'un objet qu'on utilisait pour tuer? Jake m'avait donc utiliser, tout ce temps? Et Sacha, l'a manipulait-il aussi?
Et, à cause de lui, je l'avais perdu, Nicolas. Je ne le voyais plus. J'ignorais ou il était. Je crois que je l'ai efrrayé...

J'ai pourtant changé grâce à lui. Il m'a complètement changé. Je me oique tout les soirs avec une solution tue-loup afin de ne plus me transformer et de pouvoir regarder la pleine lune avec lui. Mes cheveux sont devenus pâles, mon visage illuminé, mes cicatrices effacés. M'avait-il jeter un sort?
Je rôdais à présent seule, je n'avait donner aucune nouvelle à Jake et Sacha depuis plus d'une semaine. Je ne voulais plus rien savoir d'eux. Je les accusais d'être complices. Je les accusais d'avoir ruiner mon amour.

Vagabondant comme une louve solitaire, je me promenais près de Pré-Au-Lard et priant pour que Jake ou Sacha ne se pointent pas. Mais j'étais à peu près certaine qu'ils ne me reconnaisseraient pas. Je n'étais plus la même.

J'avais chaud cette après-midi là, alors je mettais vêtu d'une petite robe bleu qui n'étais tenu que par mon buste. J'avais ensuite mit un collier en fause argent, car j'en suis alergique. J'avais ensuite enfiler des souliers chics et confortables pour la marche. Je voulais que Nicolas me voit même s'il n'était plus dans le coin. J'espérais le voir, aujourd'hui.

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Cela fessait deux jours,48 heures, 172 800 secondes qu'elle avait rencontré Tristan Nelson.Un jeune homme qui l'intriguait,qui fessait naître un sentiment chez Veronica.Un sentiment si étrange,si différent,si fort à chaque jour,si cruel.Elle le connaissait à peine,mais il lui manquait déjà,sa présence,son regard,ses lèvres.tout de lui manquait à la jeune infirmière.

Mais elle avait peur de ce que les personnes diront,le personnelle de Poudlard,les élèves.Tristan était jeune,plus jeune qu'elle.Il n'avait que 17 ans et elle en avait 21.Une petite différence,ou grande dépendant du point de vue de tout le monde.Mais ne dit-on pas que l'amour n'a pas d'âge?

Rien de mieux pour se changer les idées qu'une promenade au Pré-au-Lard.Accompagé d'une scéance de magasinage.Portant ses talon haut blanc,une petite robe blanche bustier,et l;es cheveux sur les épaule.parfait pour la température qu'il fessait dehors.

Après une bonne scéance de magasinage,Veronica marchait seule sur la rue du Pré-au-Lard.Elle pensait à Tristan et leur relation,était-ce mal?Ne regardant pas où elle marchait elle rendra sur une jeune femme qui avait à peu prés le même âge qu'elle.

Excusez moi,j'était perdu dans mes pensées...Ah l'amour si beau mais ça me déconcentre...

Dit-elle en souriant.C'était vrai l'amour déconcentre.

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Mes yeux parcouraient la rue dans l'espoir de le revoir. Je ne désirais pas que la flamme qui me consumait depuis quelques jours ne meurt si vite. Je désirais vivre plus qu'un "amourette" avec Nicolas. Je désirais un amour passionné, tendre, fidèle et réel. J'avais encore si peur que ce ne soit qu'un simple rêve d'une vie que je vivrai jamais. J'avais de me réveiller et de découvrir ma peau encore parsemenr de cicatrices apparantes, que mes cheveux soient encore noirs, d'être encore ce monstre...
Je sentis quelque chose me foncer dedans. Je retins un grognement, croyant qu'il s'agissait de lui. Je me tournai, un jolie sourire dessiner sur les lèvres, mais qui disparu bien vite lorsque je vis la femme qui se trouvait devant moi. C'était décevant, j'aurai préférer que ce soit lui et non elle. Mes sourcils se froncèrent en regardant la jeune femme s'expliqeur. Je dois avouer avoir un très mauvais caractère et avoir tendance à trop mordre justement. Alors, furieuse, je lui répondis sèchement:

- Oui, ça déconcentre, mais il faut savoir gérer ça!

Je la regardai de la tête au pied. Elle empestait l'humain et son coeur battait probablement vite à voir ses joues rouges par l'amour. Je ne doutais pas de ses paroles. Mais moi aussi j'étais en amour, et par dessus la tête. Et est-ce que je fonçais dans les gens? Non. Mais j'avais beaucoup changé aux yeux des autres. Ça c'était sûr.

Tandis qu'elle avalait mes paroles froides, je commençai à m'éloigner. C'était bine évident que je ne retrouverais pas Nicolas ici cet après-midi.

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La jeune infirmière venait de foncer sur une jeune femme.Il faut dire que Veronica était maladroite,très maladroite surtout quand elle avait les pensées occupé par quelqu'un.S'excusant de la plus douce des manières,avec un grand sourire.Elle espèrait au moins avoir un sourire de l'inconnue,mais c'était tout le contraire.Une froideure incroyable vennait de la jeune inconnue,d'un point telque Veronica se sentait mal à l'aise.La femme la regardait en fronçant les sourcils et lui répondit sèchement de gérer l'amour et de ne pas se déconcentrer.Veronica leva un sourcil d'un air surprit,de voir à quel point elle était furieuse.

Qui n'a jamais foncer sur quelqu'un? Apparament personne,surtout pas la jeune inconnue.La regardant de la tête aux pieds,Veronica avait toujours son regard posé sur la furieuse.La furie commençait à s'éloigner,n'ayant toujours pas avaler ses paroles.Veronica dit d'un ton de voix fort

Oui c'est vrai qu'il faut s'avoir gérer ça,mais ce ne sont que les p*tasses comme vous qui y arrive.Désoler si je ne suis pas comme vous.

Un sourire aux lèvres Veronica attendait de voir la réaction de la sauvage.La baguette de la jeune infimirère était toujours à sa place,bien au chaud dans la poche de sa petite robe.Prête à riposté si la furie se décidait à sortir les griffes.Veronica détestait les gens comme elle,incapable de les endurer.Pourquoi tant de haine,quand on n'ai polie avec eux? Aucune idée,mais une chose était sûr c'était des personnes détestable.

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Que lui avais-je fais? Elle utilisait déjà les grandes insultes. Avant, je l'aurai attaqué sur-le-champ et elle ne s'en n'aurait pas sortir vivante. Mais à présent, j'avais changée. Je retins un grognement car j'essayais d'être plus humaine et je me contentai de la regarder de la tête au pied avec un sourire moqueur au coin des lèvres. Elle pouvait bien me traîter de tout ce qu'elle voulait, elle n'en vallait pas la peine. C'était tout simplement une âme perdue qui combatait contre moi. Ou qui tentait de combattre contre moi.
Selon moi, ça lui fesait plaisir de me m'appeler de pétasse, mais je n'allais pas lui rendre le plaisir de me voir m'énerver. Haussant les épaules, je lui dis:

- Si vous le dites.

Mais, par pure provocation, j'ajoutai:

- Vous avez bien raison, nous ne sommes pas pareille. Vous vous êtes bêtes...

Je sourai, moqueuse. Que pouvait-elle me faire? Je ne craignais pas sa baguette. Même si je ne maitrisais pas la magie, je savais quand même contre attaquer par la force, une force qu'elle qu'elle n'a pas.
Je lui tournai le dos, percevant chez elle une légère odeur de sucre sur elle. Ce devait être quelqu'un qui fréquente souvent Poudlard pour sentir le vampire. Je fronçai le nez,embêter par son odeur. Je ne comptais pas m'attaquer à elle. Même si l'envie en était bouillante. Nicolas m'avais appris à ne pas penser ainsi...

J'allai m'assoir sur un banc. Je continuais de croire qu'il viendrait me rejoindre. Regardant la rue, je m'accordai aprfois le droit de regarder cette jeuen femme pertubée par l'amour me regarder froidement de l'autre bout de la rue. Je riai. Elle fesait pitier à voir.

- Pauvre fille, dis-je seule assise sur mon banc, mes mains sur mes cuisses.

HJ: Te n'aime <3
=D

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