Chelsey H. Faith

Invité

ChelseyH. Copperfield Faith

#La galette de substitution en plus névrosée, La poupée russe#

Belle > Passionnée > Froide > Traumatisée > Haineuse > Vindicative > Sadique > Fragile > Sensible > Dépressive > Psychopathe > Perturbée > Hargneuse > Esprit satirique > Ironique. Poupée russe, conceptualisée par le chocapic *baff*

Nom prénoms. Oui, j’ai un nom. J’en ai même plus d’un. Mais à quoi bon en porter si c’est pour le haïr… ? Je le hais. Donc je n’en porte pas de précis. Appelez-moi comme vous voudrez. Je n’en ai qu’un, comme j’en au cinquante. C’est c’qui fait de moi quelqu’un. :

Chelsey Haylin Copperfield Faith. Copperfield de mon père, Faith de ma mère. Chelsea, Haylin, Jessica, et j’en passe. J’ai tant de prénoms. Je m’en imaginais tellement que je ne les comptais plus. Même si mon prénom reste Chelsey. Mais je la hais. Je déteste ce nom. Je déteste tout c’qu’il me reste de mon passé. Violence des mots, impureté de mon histoire. Je le hais. Je lui préfère de loin mes surnoms. Chel, Sisi, Ness, Nessa ou encore Jess. J’ai tant d’appellations que je les oublies souvent.

Pourquoi ? …

Je n’en sais rien. Non, ne vous faites pas de film, je n’ai strictement aucune goutte de sang russe, aucune origine de ce pays, bien que je ne les aurais pas reniées. Du moins à ma connaissance. Peut-être est-ce à cause de mon attachement à ce pays… Ou peut-être que ma réputation de fillette du monde, de la haute bourgeoisie anglo-américaine me l’a voulu. Poupées Russes. Si, vous savez, celles que l’on emboite les unes dans les autres. Celles que lorsqu’on les ouvre, on tombe sur une plus petite. Rah, vous avez forcément connu ça, au moins de nom. Pris dans ce sens, je trouve ainsi que mon surnom me va à merveille. Mais qu’importe.

Vous m’en trouverez bien un chacun à votre convenance, je n’en doute pas une seconde. Autrement, appelez-moi par un de mes noms. Ou bien… Quelqu’un. Ou plutôt personne serait plus adéquat. Parce que je ne suis personne.

AGE & ANNEE:

16 ans. Sixième année.

Description physique. Petite, je l’étais tant, qu’une fois sur un escabeau, on me disait encore assise. Non, je n’imite personne, mais je vivais à la hauteur de trois pommes. Heureusement que ce temps-là est révolu. :

Jeune & élancée. Fillette aux longues tresses couleur de rouille, jeune fille aux longs cheveux dorés. Enfin, dorés… ça dépendait souvent de son humeur. Variation & changements étaient ses maîtres mots. Elle aimait se les colorer, ils en voyaient littéralement de toutes les couleurs. Au sens propre cette fois. Regard enjoliveur qui en a envoûté plus d’un. Elle arriva un matin. Un jour. Une nuit, que sais-je. Je ne m’en souviens plus. Là. La petite fille au visage parsemé d’innombrables taches de rousseur avait laissé sa place à une adolescente. Petite fille sage deviendra-t-elle une meurtrière. (Cf. Diams >.<) Les yeux de l’innocence, les yeux de l’inconscience lui appartenaient. Yeux bleus-gris, penchant plus vers le bleu que le vert même, au regard de glace, ajoutaient à son charme. Elle savait que peu de personnes possédaient le même regard. Du moins, de cette teinte et de cette couleur. Ils lui étaient propres. Dès son plus jeune âge. Niveau vestimentaire, … c’était souvent simple, vieux jean, t-shirt soit démodé soit aux nouvelles tendances. Bref, c’était selon ses envies.

Caractère. Qualités & défauts. Parce que ce sont nos actes qui déterminent ce que nous sommes. Je suis une fille facile… ? Non. Mais par amour, j’ai fais tant. Je ferai tant. Je suis folle également & j’en suis fière. :

Comment être certaine d’être objective ? Je suis une fille d’humeur variable. Parfois insupportable, parfois adorable. Caractère balancé entre la haine et la vengeance. Oui, je suis vindicative et hargneuse. Mais ça, c’est la vie qui m’a rendue ainsi. Je vous passe les détails. Une venue au monde. Mes pas sur la terre. Une enfance perturbée, je ne vins pas au monde avec les mêmes chances que vous. Du moins, que certains. Et ça, me donne envie de vous haïr encore plus. Dépressive, j’aimais au gré du vent. Mais le temps m’a forcé à ne plus vivre comme ça. Je refreine mes sentiments à présent. Je ne les accorde qu’à ceux en qui j’ai une entière confiance. Du moins, c’est mon état d’esprit pour le moment. J’espère évoluer l’âge venant. Je suis cinglée, je suis cinglée, je suis cinglée, je suis mauvaise. Oui, c'pas faux. Certains me répètent souvent que je suis folle, que je suis méchante. C’est vrai. C’est souvent vrai. Mais mon état d’esprit, mes opinions, ma vision des choses, j’les garde pour moi. Je souris.

Histoire. On en a tous une. Mais certaines méritent d’être contées. La mienne… Non. Je ne trouve pas. Je suis née, je vis, j’ai vécu & je suis morte. Morte est encore un euphémisme. Je suis détruite.

Printemps 1978. Les murs ont des oreilles. Et en plus, avec moi, ils parlent.

28 mai. Je viens au monde. Ma conception. Ou plutôt, ma condamnation. Mon entrée dans le monde des vivants. Née de parents moldus, chrétiens. Chose d’ailleurs qui me voulut de très nombreuses fois mon appellation de sang de bourbe. Sang que j’eus si souvent envie de renier. Fille d’un barbier anglais, marié à une jeune femme qui de sa plume vivait. Le nom que je porte en toute fierté, celui que je garde encore aujourd’hui, représente tout mon amour. Copperfield, Faith. De mon père Jack Copperfield, et de ma mère, Aleksandra Faith. Le charmant bébé qui sortit du ventre d’Aleksandra.

# Enfin, je dis charmant… Moi je l’ai haï, je le hais, et le haïrais toute mon existence, et au-delà si je peux. Vous comprendrez au fil des pages. Que dis-je, des lignes. #

« Félicitations madame Faith, vous avez là une magnifique petite poupée… #Moui…#

-Chelsey. Chelsey Haylin, Copperfield Faith. #Wah, le nom à rallonge...# »

Je suis ce bébé. Celui dont elle me conta la naissance à multiples reprises, celui qui causera sa perte. Celui qu’elle aimait, qu’elle chérit, qu’elle serra dans ses bras les soirs d’hiver, celui qu’elle rassura & protégea de tout son être les nuits de grands froids. Celui pour qui elle aurait donné sa vie. Celui pour qui elle a donné sa vie. Je ne crois pas au destin, je me suis trop souvent noyée dans mes promesses et mes espoirs.

J’étais le fruit de leur amour. Je suis devenue le fruit de la haine. Ma mère est partie trop tôt. Elle ne me vit pas assez grandir. Une chance à proprement parler. Si elle savait que l’enfant que j’étais évoluerait si vite... Le 28 mai 1978. Journée néfaste. Journée funeste même. Le 28 mai 1978… Je naquis.

Eté 1986. La conception de mon emblème. La conception de ma haine.

J’ai huit ans. Huit ans déjà. Je sais déjà que mon avenir est tracé. Du moins osais-je y songer... Un matin, nous sommes partis camper dans une forêt. une forêt loin de la ville, loin de tout. En fait, ça leur faisait plaisir autant qu’à moi. Repos dominical. Tous trois étendus en bons paresseux que nous étions… Ah, c’pas ça non… Bref, sur l’herbe humide. Puis la soirée arrive. Ils me font sauter sur leurs genoux, ma mère me lance de chaleureux sourires pour me rassurer lorsque l’orage tonna. Bref, cassons ce tableau de bonheur qui n’existera plus jamais. Il pleut. La pluie tombe drue. C’n’est pas une fine ondée ce soir là, averse, it’s raining cats & dogs, comme disent les anglais. Nos trois silhouettes repliées devant la lueur d’un feu de bois. Notre vieille caravane ne sert plus à grand-chose à présent.

Harassés, nous nous réfugiâmes à l’intérieur. Je vois mon père fermer avec peine la porte. Les battants résister au vent qui soufflait avec une violence indéfinissable. Une bourrasque pénétra dans la roulotte. Je pleure. Maman hurle. Mon père seul garde son sang-froid. En parlant de froid justement. Il faisait si froid. Un temps rude et cruel. Pour une vie si misérable qu’était la mienne. Pourquoi s’était-il dérangé… ? Pourquoi nous faire souffrir.

Finalement. Le combat entre mon père et le vent fut remporté par le vent. Sale mère nature qui l’a créé. Je supposais étant enfant qu’il était le sien. Alors… La petite fille pria. Elle pria cette mère nature pour qu’elle rappelle son fils à ses côtés. Mais bien évidemment, la Mama ne répondit pas à mes appels désespérés. Tant pis. Le souffle glacial entra à son tour dans la caravane. Il entra pour emporter ma mère. Vade retro satanas. J’aurais tant voulu l’en empêcher. Ma mère déjà si fragile. ma mère déjà malade. Pourquoi le sort s’acharnait-il sur elle… ? Papa… Papa m’ordonna d’aller en ville chercher un médecin. Lui l’aurait fait s’il n’était pas déjà occupé par ce foutu vent.

Il me couvre. Met sur mon frêle petit corps son propre imperméable. Et lui… ? Je faillis refuser. Mais en sentant le froid, je n’y renonçai pas longtemps. Il me souhaita bonne chance. Il me dit qu’il comptait sur moi, qu’il était certain que j’étais à la hauteur. Qu’il allait veiller sur ma mère durant mon absence. Oui, je le crus. Et inconsciemment, je m’élançai. Je m’élançai hors de la caravane rouillée. Mon dieu, quel froid. Mais j’étais suffisamment couverte pour parcourir quelques mètres. A plusieurs reprises, je crains d’être emportée à Tombouctou ou je ne sais où par le vent. Mais non. C’n’était pas pour aujourd’hui.

Mais enfant. Du haut de mes huit ans, petite fille craintive, je pris peur. Les arbres, me semblait-il, avaient de drôles de formes. Leurs branches tordues qui projetaient leurs ombres effrayantes sur le sol, sous le reflet de la lune me faisait peur. Je ralentis. Je n’arrivai qu’à la ville que plus tard dans la nuit. Lorsque je revins, escortée par deux hommes, il était tard. Trop tard peut-être. Sous mes yeux effarés, mon père penché sur le corps inerte de ma mère. MA maman. Celle qui succomba au froid et à la maladie. Par ma faute. Mea culpa. Mea maxima culpa. C’est ma faute. C’est ma très grande faute. Phrase que je retournais en boucle dans ma tête, pourtant phrase que je ne comprenais pas vraiment encore, que je connaissais de mon passage à l’église. De mon unique passage à l’église.

Oui, parce qu’avant d’être sorcière. Je fus moldue. Enfin, je passais une enfance moldue. Bref. J’aurais tellement voulu être sorcière plus tôt. Enfin… Du moins, assez puissante pour sauver ma mère. Mais si j’étais arrivée plus tôt, elle aurait vécu. Et ça, j’ai du mal à l’admettre. C’est à partir de cette nuit-là qu’un monceau de puissance monta en moi. Qu’une haine incandescente m’enivra et me fit vivre. La culpabilité me freinait. Toujours. Cet été. Je vins jurer. « Que ma haine ne s’atténue jamais. » Serment incontrôlable. Serment intenable auquel pourtant je mis un point d’honneur à tenir. Serment de petite fille, celui d’une enfant ravagée. Et j’eus beau me le jurer, je replongeai.

Enfin, passons les détails, c’n’était pas très gai. Je suis conceptualisée par la haine. Oui, la haine fut mon seul facteur. Ma seule voie. Bref. Le reste…. Fut assez bref. Enfin, sera facile à raconter & donc facile à lire également.

Invité

Automne 198. La révélation.

Mes onze ans. Je me souviendrai tout au long de ma misérable existence de cette nuit-là. De cette nuit où je soufflai mes bougies presque consumées déjà, cette nuit où je reçus ma lettre d’admission. Admission… Mon dieu… Enveloppe blanche que mes petites mains enfantines et tremblantes froissèrent. Je décachetai, puis ouvrit maladroitement.

« Miss Copperfield Faith, miss Faith,

J’ai l’immense privilège de vous faire part de votre admission en première année au collège de sorcellerie Poudlard. Ecole renommée, école célèbre où vous travaillerez votre magie sous l’égide du professeur Dumbledore et de ses professeurs. Veillez à être prête, le jour de votre départ, la date et l’heure vous ont été communiquées par hiboux également très prochainement. Pour vos fournitures, le chemin de Traverse nous parait conseillé.

Cordialement. »

Alors là… Je tombai des nues. Montrant la lettre à mon père, je vis sont teint devenir livide, ses joues prendre la malheureuse couleur blanchâtre des flocons & son visage se fermer. A ses expressions, je me rendis compte qu’il allait m’annoncer quelque chose. Et il n’y coupa pas. Tôt ou tard j’allais être au courant. Ce fut cette nuit-là que nous nous attardâmes sur le canapé du salon, nos visages éclairés par la seule lueur des flammes de la cheminée, dans laquelle crépitaient encore et toujours les éternelles branches craquées. Là, il installa confortablement l’enfant que j’étais sur ses genoux avant d’entamer sa longue histoire. Quelle histoire… ? Mon histoire. La mienne. Celle que j’allais devoir porter pendant toute ma vie charnelle. Petite fille de sorciers, j’héritai de leurs pouvoirs. Bref, il m’expliqua tout en détail.

Je sus à présent n’être plus comme les autres. Je me vis différente de mes camarades. Puis, je dus partir. Je dus quitter la maison, mon père, sa nouvelle… Hum, conquête disons… Conquête entre parenthèses ou crochets, que je ne verrai jamais comme ma mère. Non, même pas comme une mère de substitution. La mienne, la vraie était morte, je m’en tenais à cette idée & irremplaçable. Son image et le mot « mère » en lui-même moururent avec elle. Hem, c’pas très gai tout ça… Passons à quelque chose d’autre. J’voudrais pas vous déprimer… >.<

C’est donc ainsi que je découvris ça. ça… Oui, je le qualifiais comme ça pour l’instant. Parce que mis à part le fait de me sentir un peu exclus des groupes, #quoiqu’en y réfléchissant bien… j’avais déjà rencontré quelques faits inhabituels au cours de mon enfance… inhabituels… Surnaturels, irréels. Je pouvais enfin leur attribuer une signification plausible. Enfin plausible... Vaste mot, pour désigner quelque chose d’irrationnel, m’enfin bref, ça disait quand même c’que ça disait. Arf, j’m’égare…. J’men vais à la campagne… Retenez moi… *sbaff*

Livres aux pages plus ou moins cornées, parchemins encore vierges et plumes dont l’encre n’avait pas encore servi à tracer un seul trait, en main, je fis mon entrée au collège. Et c’est là que l’aventure commença… Toujours plus forte en chocolaaaaaaaaaat ! *double sbaff*Ahem. C’est une petite fille au regard sombre et à l’esprit perturbé qui apparut dans l’encadrement de la porte. Du portail. Cet immense portail de fer noir qui, me parut-il, protégeait le château tout entier. Pénétrant pour la première fois dans l’enceinte du collège, ses murs froids, ses gargouilles aux allures plus ou moins effrayantes me firent peur. Mais je continuai. Je continuerai jusqu'à c’que la mort m’en sépare. Ou bien que je me sépare de la mort qui me hantait.

Animal de compagnie. Parce que c'est toujours mieux que la solitude, non ... ?

Un chaton. Kiara.

Matière préférée. : DCFM

HJ : DC.

Un bisou au premier qui trouvera. ^.^ Ahem.

Invité

PRINCESSSSSSSS *O*
Je t'aime et j'ai trouvé alors je veux mon bisouuu royal *___*

Re Bienvenuuuue

Invité

*attrape Sa princesse & l'embraaaaaaaasse *

^.^ c'pour compenser... t'as perdu ta galette aussi. >.< *minute de silence*

Je t'aime aussi. \o/

Invité

Reuh-reuh-reuh bienvenue Belette ^^

Invité

Re re re bienvenue!! Very Happy

Invité

Reuw, reuw reuw merci. Chelsey H. Faith 79471

Invité

Reuh bienvenue VIP enfin la c'est VIS Wink

Invité

Bienvenue Chocapic !

C'est ma céréale préférée Oo

Invité

Tanks , .. merci Nesquik. \o/