Dans la pluit batente

Aujourd'hui je me sentait vraiment seul. Personne pour me dire quoi faire ou pour me dire a quelle point j’etait bizzard. Oui on m’insultait a se point. Dans la pluit qui se trouvas dehors, dans ma tete c’etait tout les larmes de mon corps que je pleurais. On me critiquais pour mes cheveux et de la maniere don je m’abillait et aussi personne ne m’apellais par mon vrai nom.
On me trouvais toujours des nom bizzard car dans la tete de tout les autres, j’etait pour eux une vrai capoter de la vie. Je n’avait jamais compris pourquoi on me fessait se genre de chose. Je ne pouvais pas rester tranquille s’en que personne vienne me dire un beau compliment pour que je lui donne en retour un merci avec un magnifique sourire.

Je marchas vers le Lac, on les coute d’eau fessait une musique a la surface du Lac. Je me trouvas un coin bien a moi en desous d’une arbre et je m’assoyas sur un tron qui avait tomber avaec la tempete qu’il y a eux , il n’y a pas longtemps. Il etait tout derassiner et dans s’est condition comme selui si, je pris place sur se dernier.

Je m’acroupilla en enroullent mes bras a l’entour de mes jambes et avec mon capuchon sur la tete, j’accotas ma tete sur mes genou et je commenca a pencer a tout sorte de chose pour me distrere.

Alors qu'il se promenait dans la Forêt Interdite, chevauchant son étalon alezan, une tempête leur tomba soudainement dessus. Des gouttes de pluies énormes tombèrent sur le pauvre cheval écumant déjà, tant il stressait dans cette forêt si... oppressante et dont l'ambiance malsaine lui donnait des sueurs froides.
Tristant, son cavalier, rassura de la voix la pauvre monture et le caressa doucement. Il connaissait son cheval par coeur et savita pertinemment bien que l'animal redoutait par dessus tout les orages.
-Hey, mon gros, me dis pas qu't'as peur de deux ou trois gouttes de pluie ?

Pour toute réponse, l'animal renâcla et s'emballa à travers les arbres, il zigzaguait au grand galop pour enfin se calmer lorsqu'il aperçut la vision rassurante du château. Tristant reprit les rênes et tenta de calmer encore son petit Anàrion. Il descendit de sa monture et sortit de l'orée du bois. Là, le lac était recouvert de cercles provoqués par la pluie. Il ferma les yeux et écouta avec bonheur la douce mélodie que lui offrait la nature. ll était complètement trempé, mais il n'y prètait aucune importance.
Décidé à rester encore un peu dehors, il entraîna son cheval, pas tout à fait partant, près de quelques arbres entourant le lac.

Au pied de l'un d'eux se trouvaient une jeune fille à la chevelure rousse. Elle était assise et semblait ne pas se sentir très bien. Silencieux, le Serdaigle s'approcha d'elle, tenant toujuors les rênes de sa monture, et s'accroupit à ses côtés, posant un bras sur ses épaules alors qu'il ne l'avait encore jamais vue auparavant.

-Hey, toi, ça ne va pas ? lui souffla-t-il gentillement en cherchant à rencontrer son regard.

Je pencer de tout et de rien. Je revoyais le visage de mes parents et aussi j’entendit des droles bruit comme une baite qui raudas dans les parages. Peut etre un cerf ou peut une licorne mais comme il pleu et bien sa serait rares de voir une licorne dans les parages. Les animeaux encanter pres du Lac, n’etait pas si rare que sa mais bon on peut toujours esperer.

Je ne s’avait plus a quoi pencer maintenent mais dans ma tete, je me fessait a l’idee que une personne etait pres de moi et qui me demanda si j’allais bien. Je releva ma tete d’un coup sec car avec le grondement tu tonnaire, et bien j’etait effreyer.

Je tournas mon regard sur un jeune homme que sa fessait la premiere fois que je le rencontrait. Il etait nouveau je croix a l’ecole et aussi il etait tres mignon. J’etait timide et je ne s’avait pas quoi lui repondre a sa question et dans ma tete je croix que c’etait lui la personne que se tennait pres de moi.

-Boff...juste trop de chose on passer trop vite et aussi, je lui la seul que tout le monde me donne du mepris au college.

Je degagas mon capuchon de ma tete et je laissa mes cheveux tomber sur mes epaules. Il me chatouilla dans le cou mais je les laissa pres de moi car la senteur etait fraise des bois et puisque j’etait pres d’un bois et bien sa donnait un avant gout.

-Vient t’assoir. Moi c’est Lana et tu es?

La jeune fille devait être tellement plongée dans ses pensées qu'elle ne semblait pas avoir remarqué la présence du Serdaigle qui avait pourtant poser un bras chaleureux et encourageant sur les épaules de la petite rousse. En plus, se promener avec un cheval n'avait rien de très discret... Elle devait aller vraiment mal pour ne pas s'aperçevoir de leur présence.

Après un petit moment, elle releva la tête et croisa la regard bleu de Tristan qui lui adressait un petit sourire. Elle ne semblait pas plus surprise que ça de le voir débarquer, accompagné de son cheval, mais sa présence semblait la mettre plutôt mal à l'aise. Il aurait peut-être dû la laisser tranquille...
Malgré les apparences, Tristan était un jeune homme qui pouvait se montrer doux et protecteur... Même si le cas où il le devenait était plutôt rare.

-Boff...Juste trop de choses ont passé trop vite et, aussi, je suis la seule à qui tout le monde donne du mépris au collège.
Elle tira son capuchon pour libérer ses cheveux d'un orange flamboyant sur ses épaules. Tristan retira son bras, toujours accroupi près d'elle.

-Des choses ? Quel genre de choses ? ...'fin, s'tu veux bien en parler, hein, je ne t'oblige à rien, ajouta-t-il en s'asseyant juste à côté d'elle.
Il reprit, le ton léger et insouciant:
-Tu sais... Les autres, il ne faut pas forcément tous les écouter. La plupart ne sont qu'une bande de débiles xénophobes et paranos, alors bon...

Il me demanda quelle genre de mepris les gens me fessait subir dans le college. Je me mordilla les joues endedans et disons que oui j'ai envie dans parler et disons que sa serait un bon moment pour laisser sortir mes emotions. Je me retournas et disons que son regard bleu ma attirer.

-Tu sais du genre que tu resemble a une citrouille avec tes cheveux, ou que tu est la plus bizzard de l'ecole car disons que quand tu etait plus jeune tu ne croyais pas en la magie mais tu es une sorciere tres douer et avec la grande compasion de ta mere et bien est plus brillente que elle.

Je pris une grande respiration et quand j'ai remarquer son cheval je me suit rapeller du mient que j'avais chez moi.

Ne la connaissant absolument pas et ne lui ayant même jamais encore adressé la parole jusqu'à ce jour, Tristan s'était attendu à recevoir un refus plus ou moins poli de la part de la petite rousse. Mais non, elle semblait au contraire soulagée de pouvoir enfin dire ce qu'elle avait sur le coeur, dire tout ce qui n'allait pas et réduire un peu le poids qui alourdissait son coeur.

-Tu sais, du genre que tu ressembles à une citrouille avec tes cheveux, ou que tu es la plus bizzare de l'école car, disons que quand tu étais plus jeune, tu ne croyais pas en la magie, mais tu es une sorcière très douée et avec la grande compassion de ta mère et bien en plus brillante qu'elle.

Attentif et rempli de compassion, le Serdaigle écouta la Gryffondor s'alléger de tous ses maux, il ouvrit la bouche à plusieurs reprises mais garda le silence, en voulant pas l'interrompre sur sa lancée. Il ne dit rien durant les quelques secondes suivantes, enroulant les bras autour de ses genoux appuyés contre son torse.

Souriant, il répondit enfin:
-Sois fière de ton originalité. Tu n'es pas l'un de ces clônes toutes pareilles les unes que les autres, tu es différente, tu as ton style, tu es toi. Il ne faut pas chercher à être quelqu'un d'autre juste pour plaire à des hypocrites sans aucune personnalité.

Il ajouta après un court moment de silence:
-Si ça se met, ils te critiquent parce qu'ils t'envient, ça ne m'étonnerait même pas...
T'as quand même quelques bons amis, à Poudlard, non ?

Pendant leur conversation, Anàrion, l'étalon alezan de Tristan, s'approcha derrière les 2 adolescents, à l'abris des arbres, et se mit à brouter les quelques herbes parsemées par-ci et par-là.

Il etait tres gentil se jeune homme avec moi. Je croix qu’il est le seul avec mon amie Jac , Brookelle et Yanny qui etait gentil(ille) avec moi. Disons que oui c’est mon style mais on dirais qu’il ne le remarque pas que c’est sa qui mainterrese comme style.

-Tu as raison et aussi je croix que les seul personne qui me vois comme une fille bien ordinaire et bien c’est toi avec mes trois autre amis(es).

La encore plus fort que tentot et aussi disons que sa fait du bien d’ent parler a une personne qui comprend ta situation et aussi une situation qui ressemble beaucoup comme la mienne.

-En pessent, je suit Lana et tu es?

Tristan l'écoutait toujours, le regard adouci posé dans celui un peu perdu de la jeune rouquine. Elle semblait triste mais aussi réconfortée de trouver une personne à qui raconter tous ses problèmes d'intégration.
-Ahhh, bha, voilà !, s'exclama-t-il d'un air enthousiaste. Mieux vaut avoir peu d'amis, mais qu'ils soient le smeilleurs au monde que tout un tas qui ne sont qu'une bande de profiteurs.

Il sourit, puis ajouta:
-Puis, désormais, tu peux me compter dedans.

-En peassent, je suis Lana et tu es?
Arf ! Et voilà qu'il avait complètement oublié de se présenter ! Enfin... Ca n'était pas bien grave, le plus pressant était de réconforter la pauvre Gryffondor.
-Ravi de faire ta connaissance, Lana. Je suis Tristan, élève de Serdaigle.